Danny Boyle dépeint un homme aussi antipathique que fascinant que l'on découvre dans l'ombre et à travers le regard de son entourage, dans un biopic scénique, bavard et entier. Peut-être trop bavard ? Si l'exercice est périlleux, Danny Boyle révèle un Steve Jobs en trois actes parfaitement cadencés et dynamiques, dans lequel on se perd toutefois avec plaisir et admiration.
