Quatre ans après son affrontement avec la mafia russe, Hutch doit encore 30 millions de dollars et enchaîne les contrats d’assassinats pour rembourser sa dette. Épuisé et éloigné de sa femme Becca, il décide de partir en vacances en famille au Wild Bill’s Majestic, un parc d’attractions de l’Arkansas. Mais un accrochage avec des voyous locaux les met bientôt dans le viseur du directeur corrompu du parc et de son shérif véreux, jusqu’à attirer l’attention d’un criminel aussi dérangé que sanguinaire.
Étiquette : christopher Lloyd
[CRITIQUE] Nobody, d’Ilya Naishuller
Hutch Mansell est un homme apparemment banal et un père de famille sans histoires, mais il accumule tout un tas de frustrations et ne se sent pas assez considéré par les siens. Une nuit, des cambrioleurs s'introduisent à son domicile. Plutôt que de s'interposer, Hutch décide de ne pas intervenir. Cette décision lâche l'éloigne définitivement de son fils Blake et de sa femme Becca. Mais le cambriolage va aussi réveiller des instincts primaires et des compétences violentes qu'il croyait avoir oubliés. Il va alors se lancer dans une quête sanglante de vengeance pour s’assurer que plus personne ne le traite comme un moins que rien.
[CRITIQUE] Braquage à l’Ancienne, de Zach Braff
Léger et décalé, Braquage à l'Ancienne joue les comédies estivales avant l'heure, avec un casting trois étoiles. Derrière l'humour et les frasques de gangsters débutants, Zach Braff dénonce le système américain qui laisse ses retraités sur la carreau. Si l'ensemble est agréable, Braquage à l'Ancienne compose avec de nombreuses failles, entre manque de crédibilité (allant au-delà de l'âge de ses protagonistes) et de piquant, tout simplement. Braquage à l'Ancienne maîtrise les codes classiques mais de façon impersonnelle - avec un réalisateur comme Zach Braff, c'est plutôt étonnant.
