Épouvante-horreur

[CRITIQUE] Immaculée, de Michael Mohan

Cecilia, une jeune religieuse américaine, s’installe dans un couvent isolé de la campagne italienne. L’accueil est chaleureux, mais rapidement Cecilia comprend que sa nouvelle demeure abrite un sinistre secret et que des choses terribles s’y produisent…

Épouvante-horreur

[CRITIQUE] La Malédiction : l’Origine, de Arkasha Stevenson

Margaret est envoyée à Rome pour être au service de l'Église. Elle va y découvrir une terrible conspiration pour faire naître un enfant qui serait l'Antéchrist.

Épouvante-horreur

[CRITIQUE] Imaginary, de Jeff Wadlow

Lorsque Jessica retourne dans sa maison d’enfance avec sa famille, sa plus jeune belle-fille Alice développe un attachement étrange pour un ours en peluche qu’elle a trouvé dans le sous-sol et nommé Chauncey. Tout commence par des jeux innocents, mais le comportement d’Alice devient de plus en plus inquiétant. Jessica comprend alors que Chauncey est bien plus qu'un simple jouet…

Épouvante-horreur

[CRITIQUE] La Nonne 2 : La Malédiction de Sainte-Lucie, de Michael Chaves

En 1956, à Tarascon dans le sud de la France, un prêtre est assassiné. Un mal se répand. Sœur Irène se retrouve une fois de plus face à la force démoniaque Valak, la Nonne.

Épouvante-horreur

Délivre-nous du mal : Et de l’ennui ?

Ambiance nocturne, bruits inquiétants et comportements étranges... Scott Derrickson semble avoir méthodiquement consulté l'Abécédaire de l'horreur tandis qu'il concoctait son dernier film. Gonflé par un casting solide, Délivre-Nous Du Mal propose une histoire alléchante où le frisson n'est jamais loin. Et pourtant, à cause d'un certain manque d'enjeu dramatique et d'ambition autour des personnages, le film surfe sur du vide, ne parvenant jamais à franchir la frontière de l'épouvante. Entre mysticisme et pragmatisme, Scott Derrickson tente de maintenir une tension oppressante tout au long du film en confrontant le normal au paranormal, avant de tout simplement pomper un de ces précédents films, L'Exorcisme d'Emily Rose, allant jusqu'à calquer la fameuse scène d'exorcisme, avec beaucoup moins de panache. Bref, malgré beaucoup d'efforts, le trouillomètre reste à plat.