Arnaud Jaurès, 25 ans, novice en politique, intègre par un concours de circonstances l’équipe de campagne d’un candidat à l’élection présidentielle. Il devient l’assistant de Agnès Karadzic, directrice de la communication, une femme de pouvoir et d’expérience qui l’attire et le fascine. Sans l’épargner, elle l’initie aux tactiques de campagne, et à ses côtés il observe les coups de théâtre et les rivalités au sein de l’équipe, abandonnant peu à peu sa naïveté pour gravir les échelons, jusqu’à un poste très stratégique.
Étiquette : alexandra lamy
[CRITIQUE] Retour Chez Ma Mère, d’Éric Lavaine
Le pitch : Aimeriez-vous retourner vivre chez vos parents ? À 40 ans, Stéphanie est contrainte de retourner vivre chez sa mère. Elle est accueillie les bras ouverts : à elle les joies de l'appartement surchauffé, de Francis Cabrel en boucle, des parties de Scrabble endiablées et des précieux conseils maternels sur la façon de se tenir à table et de mener sa vie… Chacune va devoir faire preuve d’une infinie patience pour supporter cette nouvelle vie à deux. Et lorsque le reste de la fratrie débarque pour un dîner, règlements de compte et secrets de famille vont se déchaîner de la façon la plus jubilatoire. Mais il est des explosions salutaires. Bienvenue dans un univers à haut risque : la famille !
Planes 2 : Une suite flamboyante et ludique
Dusty est de retour pour de nouvelles aventures dans Planes 2, dans un film amusant et ludique. Walt Disney Pictures signe un nouveau volet bien au-dessus du premier, tout en rendant hommage aux combattants du feu. L'occasion donc de divertir les plus jeunes, tout en les sensibilisant aux dangers du feu et en les instruisant sur la responsabilité et l'importance des pompiers. Grâce à son format condensé, Planes 2 file à toute allure dans une aventure dense et colorée pour capter l'attention d'un très jeune public, si bien que même les plus grands n'auront pas le temps de s'ennuyer.
Jamais le premier soir : Mauvais, stupide, mal joué… une horreur !
Dire que ce film est mauvais est un doux euphémisme. Jamais le premier soir cumule tout ce qu'il peut y avoir de plus mauvais et stupide en un seul film, du scénario ridicule et téléphoné aux personnages agaçants. Pour son premier film, Mélissa Drigeard se complaît dans la médiocrité sans nom, affichant tous les stéréotypes et les clichés beaufs, sexistes et même - soyons fous - racistes dans une comédie lourde, potache et ennuyeuse à mourir. Jamais le premier soir n'aurait surtout jamais dû voir le jour ! Quelle horreur !
