Épouvante-horreur

[CRITIQUE] Halloween Ends, de David Gordon Green

Le pitch : Quatre ans après les événements d’Halloween Kills, Laurie vit désormais avec sa petite-fille Allyson et achève d’écrire ses mémoires. Michael Myers ne s’est pas manifesté ces derniers temps. Après avoir laissé l’ombre de Michael planer sur le cours de son existence pendant des décennies, elle a enfin décidé de s’affranchir de la peur et de la colère et de se tourner vers la vie. Mais lorsqu’un jeune homme, Corey Cunningham, est accusé d’avoir assassiné un garçon qu’il gardait, Laurie devra affronter une dernière fois les forces maléfiques qui lui échappent, dans un déferlement de violence et de terreur...

Épouvante-horreur

[CRITIQUE] Candyman, de Nia DaCosta

Anthony McCoy, artiste, vit à Chicago, avec sa femme, directrice d'une galerie d'art. En panne d'inspiration, il découvre la légende de Candyman. Il commence à s'en inspirer pour ses peintures. Cela va faire ressurgir en lui un passé sanglant. Il va peu à peu perdre la raison. Selon la légende, on peut invoquer Candyman en prononçant son nom cinq fois en se regardant dans un miroir. Meurtres macabres et légendes urbaines se mêlent à la terreur de cette ville traumatisée.