Épouvante-horreur

[CRITIQUE] Late Night with the Devil de Cameron et Colin Cairnes

Jack Delroy cherche désespérément le petit quelque chose qui manque à son émission de divertissement pour dépasser la concurrence. Le soir d’Halloween, les segments se succèdent et l’ambiance commence sérieusement à déraper sur le plateau, en plein direct.

Épouvante-horreur

[CRITIQUE] Conjuring 3 : Sous l’Emprise du Diable, de Michael Chaves

Conjuring 3 : Sous l'Emprise du Diable retrace une affaire terrifiante de meurtre et de présence maléfique mystérieuse qui a même ébranlé les enquêteurs paranormaux Ed et Lorraine Warren, pourtant très aguerris. Dans cette affaire issue de leurs dossiers secrets – l'une des plus spectaculaires – , Ed et Lorrain commencent par se battre pour protéger l'âme d'un petit garçon, puis basculent dans un monde radicalement inconnu. Ce sera la première fois dans l'histoire des États-Unis qu'un homme soupçonné de meurtre plaide la possession démoniaque comme ligne de défense.

Thriller

[CRITIQUE] Régression, d’Alejandro Amenábar

14 ans après le film Les Autres, Alejandro Amenábar est de retour avec un nouveau thriller psychologique flirtant avec le cinéma d'épouvante. Forcément, après avoir réalisé un des meilleurs films d'épouvante de ces dernières années - sans mentionner un twist final génial -, le réalisateur espagnol est attendu au tournant avec Régression, un film délicieusement sombre et sournois... mais finalement très faible.

Thriller

[CRITIQUE] Dark Places, de Gilles Paquet-Brenner

Prévisible et peu accrocheur, Dark Places est un thriller très basique, tournant autour du meurtre mystérieux d'une famille et explorant les failles psychologiques de ses personnages. Surfant sur un thème plutôt daté, qui aurait pourtant fait fureur au début des années 2000, le film de Gilles Paquet-Brenner tente mollement de profiter du succès de Gone Girl pour perdurer, mais ne parvient pas à construire une trame aussi prenante. Seulement, avec une intrigue aussi simple à dépiauter et une héroïne plutôt mutique et peu accessible, Dark Places botte en touche et s'avère plutôt décevant.