Un voleur beau gosse et une bande d'aventuriers improbables entreprennent un casse épique pour récupérer une relique perdue. Les choses tournent mal lorsqu'ils s'attirent les foudres des mauvaises personnes. Donjons & Dragons : L'honneur des voleurs transpose sur grand écran l'univers riche et l'esprit ludique du légendaire jeu de rôle à travers une aventure hilarante et pleine d'action.
Étiquette : prévisible
[CRITIQUE] Creed 3, de Michael B. Jordan
Idole de la boxe et entouré de sa famille, Adonis Creed n’a plus rien à prouver. Jusqu’au jour où son ami d’enfance, Damian, prodige de la boxe lui aussi, refait surface. A peine sorti de prison, Damian est prêt à tout pour monter sur le ring et reprendre ses droits. Adonis joue alors sa survie, face à un adversaire déterminé à l’anéantir.
[CRITIQUE] Ant-Man et la Guêpe : Quantumania, de Peyton Reed (sans spoilers)
Et de 3 ! Peyton Reed reprend du service avec Ant-Man et la Guêpe : Quantumania, le troisième volet des plus petits super-héros du giron Marvel Studios. Entre un changement de décors et une approche plus familiale, Ant-Man et la Guêpe : Quantumania fleure bon le space opera et les effets spéciaux. Un changement d’ambiance étonnant qui colle aux ambitions du film, malgré un storytelling un peu trop classique pour ouvrir la Phase 5 du MCU.
[CRITIQUE] Knock At The Cabin, de M. Night Shyamalan
Tandis qu’ils passent leurs vacances dans un chalet en pleine nature, une jeune fille et ses parents sont pris en otage par quatre étrangers armés qui leur imposent de faire un choix impossible. S’ils refusent, l’apocalypse est inéluctable. Quasiment coupés du monde, les parents de la jeune fille doivent assumer leur décision avant qu’il ne soit trop tard...
[CRITIQUE] Don’t Worry Darling, d’Olivia Wilde
Dans les années 1950, Alice et Jack Chambers sont un jeune couple heureux, vivant dans la ville fictive de Victory, en Californie, qui semble parfaite et qui a été créée et financée par la mystérieuse société pour laquelle Jack travaille. La curiosité concernant la nature du travail de son mari sur le « Victory Project » secret commence à consumer Alice. Des fissures commencent alors à se former dans leur vie utopique alors que son enquête sur le projet soulève des tensions au sein de la communauté...
[CRITIQUE] Là Où Chantent Les Écrevisses, d’Olivia Newman
Kya, une petite fille abandonnée, a grandi seule dans les dangereux marécages de Caroline du Nord. Pendant des années, les rumeurs les plus folles ont couru sur la "Fille des Marais" de Barkley Cove, isolant encore davantage la sensible et résiliente Kya de la communauté. Sa rencontre avec deux jeunes hommes de la ville lui ouvre un monde nouveau et effrayant ; mais lorsque l'un d'eux est retrouvé mort, toute la communauté la considère immédiatement comme la principale suspecte. A mesure que la vérité sur les événements se dessine, les réponses menacent de révéler les nombreux secrets enfouis dans les marécages.
[CRITIQUE] Beast, de Baltasar Kormákur
Le Dr. Nate Daniels, revient en Afrique du Sud, où il a autrefois rencontré sa femme aujourd’hui décédée, pour y passer des vacances prévues de longue date avec ses deux filles dans une réserve naturelle, tenue par Martin Battles, un vieil ami de la famille, biologiste spécialiste de la vie sauvage. Mais ce repos salvateur va se transformer en épreuve de survie quand un lion assoiffé de vengeance, unique rescapé de la traque sanguinaire d’ignobles braconniers, se met à dévorer tout humain sur sa route et prend en chasse le docteur et sa famille.
[CRITIQUE] La Page Blanche, de Murielle Magellan
Avec le film La Page Blanche, le cinéma fait sa rentrée avec une jolie comédie toute douce sur la reconquête de soi. Muriel Magellan adapte en partie la BD de Boulet et Pénélope Bagieux dans une revisite simple et plutôt convenue, mais qui reste tout aussi touchante.
[CRITIQUE] The Gray Man, de Joe et Anthony Russo
"Gray Man" est le nom de code de l’agent de la CIA Court Gentry, alias Sierra Six. Recruté dans une prison fédérale par son officier traitant, Donald Fitzroy, Gentry était autrefois un redoutable tueur à gages à la solde de la CIA. Mais la situation a radicalement changé : Gentry est désormais la cible de Lloyd Hansen, ancien comparse de la CIA, totalement déterminé à le traquer à travers le monde pour l’éliminer. L’agent Dani Miranda le couvre – et il en aura besoin.
[SPOILER] Thor: Love and Thunder : Retour sur le film
ATTENTION, CE QUI VA SUIVRE N’EST RÉSERVÉ QU’À CEUX QUI ONT VU LE FILM. Abandonnez la lecture de cet article tant qu’il en est encore temps. Surtout si vous êtes fan de… Non ! Vous en avez trop lu, partez.. Pour ceux qui ont déjà vu le film… on est bien, là non ?
[CRITIQUE] Thor: Love and Thunder, de Taika Waititi (sans spoiler)
Dans la lignée de Thor - Ragnarok, ce nouvel opus des aventures du Dieu Asgardien baigne toujours dans l'exubérance colorée et l'humour régressif, boosté cette fois-ci, par les rifs de guitares endiablées des Guns N'Roses. Thor: Love and Thunder joue la carte de la bonne humeur estivale, dans un ensemble qui ne sera pas exempte de noirceur, notamment grâce à la présence de Christian Bale et la storyline de Natalie Portman. Ceci étant dit, j'aurai aimé voir Thor gagner un peu plus de maturité dans ce nouveau chapitre, surtout après les événements d'Avengers - Infinity War et Endgame qui lui ont pourtant coûté... à peu près tout.
[CRITIQUE] Black Phone, de Scott Derrickson
Finney Shaw, un adolescent de 13 ans, timide mais intelligent, est enlevé par un tueur sadique qui l’enferme dans un sous-sol insonorisé où s’époumoner n’est pas d’une grande utilité. Quand un téléphone accroché au mur, pourtant hors d’usage, se met à sonner, Finney va découvrir qu’il est en contact avec les voix des précédentes victimes de son ravisseur. Ils sont aussi morts que bien résolus à ce que leur triste sort ne devienne pas celui de Finney.