Drame

[CRITIQUE] Pas de Vagues, de Teddy Lussi-Modeste

Julien est professeur au collège. Jeune et volontaire, il essaie de créer du lien avec sa classe en prenant sous son aile quelques élèves, dont la timide Leslie. Ce traitement de faveur est mal perçu par certains camarades qui prêtent au professeur d'autres intentions. Julien est accusé de harcèlement. La rumeur se propage. Le professeur et son élève se retrouvent pris chacun dans un engrenage. Mais devant un collège qui risque de s'embraser, un seul mot d'ordre : pas de vagues...

Comédie

[CRITIQUE] Mean Girls : Lolita Malgré Moi, de Samantha Jayne et Arturo Perez Jr.

Une nouvelle élève, Cady Heron se retrouve à côtoyer l'élite de la chaine alimentaire sociale, les filles populaires appelées "Les Plastiques", dirigées par leur queen Regina George et ses sous-fifres Gretchen et Karen. Mais quand Cady a un crush sur Aaron, elle ne réalise pas tout de suite qu’elle vient de commettre une grosse erreur, sa nouvelle bestie va rapidement se transformer en ennemie. Cady décide de renverser l’ordre établi avec l'aide de ses amis losers, Janis et Damian. Rester fidèle à soi même tout en se frayant un chemin dans la jungle impitoyable du lycée : tout un programme, vous avez 2 heures.

Thriller

[CRITIQUE] The Neon Demon, de Nicolas Winding Refn

3 ans après l'époustouflant Only God Forgives, Nicolas Winding Refn est de retour avec un thriller dérangeant à l'esthétique léchée, présenté il y a quelques semaines au Festival de Cannes. The Neon Demon explore le culte de la beauté dans sa dimension la plus superficielle où l'envie et la jalousie cultive des ambitions obscènes, explosant les pires travers humains. Si le résultat reste captivant, Nicolas Winding Refn se prend à son propre piège : The Neon Demon s'évapore de minute en minute, cédant à une narration creuse qui repose uniquement sur l'aspect visuel du film, certes incroyablement beau et réussi, mais insuffisant. Déçue, je suis.