Drame

[CRITIQUE] Pas de Vagues, de Teddy Lussi-Modeste

Julien est professeur au collège. Jeune et volontaire, il essaie de créer du lien avec sa classe en prenant sous son aile quelques élèves, dont la timide Leslie. Ce traitement de faveur est mal perçu par certains camarades qui prêtent au professeur d'autres intentions. Julien est accusé de harcèlement. La rumeur se propage. Le professeur et son élève se retrouvent pris chacun dans un engrenage. Mais devant un collège qui risque de s'embraser, un seul mot d'ordre : pas de vagues...

Biopic

[CRITIQUE] Oppenheimer, de Christopher Nolan

En 1942, convaincus que l’Allemagne nazie est en train de développer une arme nucléaire, les États-Unis initient, dans le plus grand secret, le "Projet Manhattan" destiné à mettre au point la première bombe atomique de l’histoire. Pour piloter ce dispositif, le gouvernement engage J. Robert Oppenheimer, brillant physicien, qui sera bientôt surnommé "le père de la bombe atomique". C’est dans le laboratoire ultra-secret de Los Alamos, au cœur du désert du Nouveau-Mexique, que le scientifique et son équipe mettent au point une arme révolutionnaire dont les conséquences, vertigineuses, continuent de peser sur le monde actuel…

Comédie

[CRITIQUE] Crazy Bear, d’Elizabeth Banks

Le film est basé sur un fait divers hallucinant : en 1985 une cargaison de cocaïne disparue après le crash de l’avion qui la transportait, avait été en fait ingérée par un ours brun. Crazy Bear est une comédie noire qui met en scène un groupe mal assorti de flics, de criminels, de touristes et d’adolescents qui convergent tous au cœur d’une forêt du fin fond de la Georgie vers l’endroit même où rode, enragé et assoiffé de sang, un super prédateur de plus de 200 kilos, rendu complètement fou par l’ingestion d’une dose faramineuse de cocaïne.

Comédie, Policier, Thriller

[CRITIQUE] Amsterdam, de David O’Russell

L'histoire de trois amis proches qui se retrouvent au centre de l’une des intrigues parmi les plus secrètes et choquantes de l'histoire américaine.

Drame

[CRITIQUE] Scandale, de Jay Roach

Grisé par l'étiquette du film à Oscars et le sensationnalisme latent lié à cette histoire, Scandale aurait facilement pu être un simple film clé-en-main compilant doctement les gros titres. Jay Roach évite les pièges qui lui tendent les bras et si on n'échappe pas à la mécanique rodée et clinquante des films dénonciateurs, Scandale se fait porte-parole de femmes agressées, pas uniquement à travers ce combat médiatisé, mais en s'attachant aussi au cercle vicieux qui enferme les victimes dans le silence et la honte. Poignant et merveilleusement porté par trois excellentes actrices, dont une Charlize Theron méconnaissable.

Drame

[CRITIQUE] Queens, de Lorene Scafaria

Des strip-teaseuses se lient d’amitié et décident de conjuguer leurs talents pour arnaquer et prendre leur revanche sur leurs riches clients de Wall Street. Leur plan fonctionne à merveille, mais argent et vie facile les poussent à prendre de plus en plus de risques…

Drame

[CRITIQUE] Gueule d’Ange, de Vanessa Filho

Une jeune femme vit seule avec sa fille de huit ans. Une nuit, après une rencontre en boîte de nuit, la mère décide de partir, laissant son enfant livrée à elle-même.

Biopic, Drame

[CRITIQUE] Free State Of Jones, de Gary Ross

Pour son nouveau film, Gary Ross nous plonge dans les dessous peu connus de la Guerre de Sécession, à travers un drame à la fois éprouvant et intense. Oui, mais voilà, le mot qui pourrait résumer Free State Of Jones est « trop » : trop d’Histoire, trop de sujets, trop de clichés, trop long, trop d'emphase, trop de flashforwards, trop de dates à retenir et d'annotations à lire... Malgré un ensemble plutôt engageant, entre un casting excellent et une mise en scène superbe (encore une photographie aussi brute que magnifique), Gary Ross livre un film très américain et retrace une période noire (sans jeu de mot :D) de l’Histoire américaine déjà vue trop souvent, remuant les mêmes intrigues sur lesquelles il s'attarde tellement que la véritable évolution des personnages passent finalement à la trappe. Le drame humain est remplacé par les faits historiques, et c'est dommage car en dehors de l’omniprésence de Newton Knight, il est difficile de savoir qui il était vraiment