News

[VIDÉO] 28 Ans Plus Tard : Découvrez la nouvelle bande-annonce

Cela fait près de trente ans que le Virus de la Fureur s’est échappé d’un laboratoire d’armement biologique. Alors qu’un confinement très strict a été mis en place, certains ont trouvé le moyen de survivre parmi les personnes infectées. C’est ainsi qu’une communauté de rescapés s’est réfugiée sur une petite île seulement reliée au continent par une route, placée sous haute protection. Lorsque l’un des habitants de l’île est envoyé en mission sur le continent, il découvre que non seulement les infectés ont muté, mais que d’autres survivants aussi, dans un contexte à la fois mystérieux et terrifiant… Réalisé par Danny Boyle En salles le 18 juin 2025 Avec Aaron Taylor-Johnson, Jodie Comer, Ralph Fiennes…

News

[VIDÉO] 28 Ans Plus Tard : Découvrez la bande-annonce

La Grande-Bretagne vit depuis 28 ans sous le joug d'une terrible épidémie qui infecte les personnes et en fait des humains enragés. Quelques groupes de non infectées subsistent. L'histoire se concentre sur un jeune garçon qui cherche un médecin pour aider sa mère mourante. Réalisé par Danny Boyle En salles le 18 juin 2025 Avec Aaron Taylor-Johnson, Jodie Comer, Ralph Fiennes…

Tops & Flops

#Confinement : 8 films d’épidémie et/ou (post-)apocalyptiques pour se mettre dans le bain

Qui dit contagion, dit souvent Soderbergh mais surtout zombies, déshumanisation et stress... et pourtant, il peut aussi il y avoir de l'espoir et de la poésie après la fin du monde. Voici huit films qui vont jouer avec vos nerfs...

Super héros

[CRITIQUE] Venom, de Ruben Fleischer

Trop court, parfois incohérent avec son propre concept et ultra prévisible, Venom débarque avec un bon nombre de boulets à tirer, en plus d'avoir un antagoniste bien connu qui manque à l'appel. Pourtant, malgré toutes les critiques qu'on peut formuler sur le film de Ruben Fleischer, l'ensemble reste néanmoins pétri de bonnes idées et de personnages solides qui semblent avoir été mis à mal des ambitions marketing mal assumées. Dommage, car Venom avait (presque) tout ce qu'il faut pour jouer dans la même cour déjantée qu'un Deadpool, avec ou sans araignée au plafond.

Drame

[CRITIQUE] Maggie, de Henry Hobson

Après avoir repris des rôles de gros bras et en attendant (ou pas) Terminator: Genisys, Arnold Schwarzenegger est de retour dans un de ses meilleurs personnages : celui du super papa. Dans un drame "zombiesque", un père tente de protéger sa fille infectée envers et contre tout. Annoncé comme un huis-clos émotionnel teinté de frissons, Maggie se révèle être un film peu assumé, manquant à la fois d'hémoglobine et d'intérêt, dévoilant alors un concept bien tenté mais relativement mou du genou et ennuyeux, tiraillée entre une ado geignarde et un Schwarzy qu'on a connu plus expressif (si, si). Dommage.