Le pitch : Laurie Strode, sa fille Karen et sa petite fille Allyson viennent d’abandonner le monstre au célèbre masque, enfermé dans le sous-sol de la maison dévorée par les flammes. Grièvement blessée, Laurie est transportée en urgence à l’Hôpital, avec la certitude qu’elle vient enfin de se débarrasser de celui qui la harcèle depuis… Lire la suite [CRITIQUE] Halloween Kills, de David Gordon Green
Étiquette : surhumain
[CRITIQUE] Bloodshot, de Dave Wilson
Ray Garrison est un soldat tué en mission, et ramené à la vie par RST Corporations, l'entreprise qui l’a transformé en super-humain. Des nanotechnologies coulent désormais dans ses veines, ce qui le rend invincible. Il est plus fort que jamais et capable de guérir instantanément de ses blessures. Mais RST Corporation ne contrôle pas que son corps… Ils ont également la main sur son esprit et ses souvenirs. Ray ne peut distinguer ce qui est réel de ce qui ne l’est pas – mais sa mission est désormais de le découvrir.
[CRITIQUE] Halloween, de David Gordon Green
40 ans, 10 films dont 1 reboot : Halloween : La Nuit des Masques fait partie des films cultes du cinéma d'horreur et pour fêter un bel anniversaire, David Gordon Green offre une onzième retrouvailles avec la saga, entre hommage au film de Carpenter et coup de neuf. Nourri par une tension jubilatoire et la force tranquille d'un tueur iconique et implacable, Halloween explore judicieusement les ressorts de la saga à travers un traitement plein d'anticipation et de suspens. Plus brutal, plus stressant et portée par une Jamie Lee Curtis aux antipodes de sa première interprétation, Halloween est une très bonne surprise.
Hercule : Action, (très) gros bras et beaucoup de second degré !
Alors que personne n'attendait le face-à-face entre deux films sur Hercule cette année, Brett Ratner réussit à tirer son épingle du jeu en revisitant la légende dans un film divertissant et gonflé à bloc. Entre mythologie et réalité, Hercule vise la démesure sans jamais se prendre au sérieux, tout en proposant une version moderne du héros, ce qui donne un film plutôt rythmé et -globalement- loin de la catastrophe annoncée, grâce à un second degré bien présent qui minimise les défauts du film.
