Épouvante-horreur

[CRITIQUE] Les Cartes du Mal, de Spenser Cohen et Anna Halberg

Quand une bande d'amis transgresse sans scrupules les règles du tirage du Tarot, ils libèrent à leur insu un esprit maléfique piégé dans les cartes maudites. Un par un, ils découvrent le sort qui les attend, et se retrouvent dans une course contre la mort pour échapper aux prédictions de leur tirage.

Épouvante-horreur

[CRITIQUE] Imaginary, de Jeff Wadlow

Lorsque Jessica retourne dans sa maison d’enfance avec sa famille, sa plus jeune belle-fille Alice développe un attachement étrange pour un ours en peluche qu’elle a trouvé dans le sous-sol et nommé Chauncey. Tout commence par des jeux innocents, mais le comportement d’Alice devient de plus en plus inquiétant. Jessica comprend alors que Chauncey est bien plus qu'un simple jouet…

Drame

[CRITIQUE] I Am Not A Witch, de Rungano Nyoni (Sortie DVD et VOD)

Shula, 9 ans, est accusée de sorcellerie par les habitants de son village et envoyée dans un camp de sorcières. Entourée de femmes bienveillantes, condamnées comme elle par la superstition des hommes, la fillette se croit frappée d’un sortilège : si elle s’enfuit, elle sera maudite et se transformera en chèvre... Mais la petite Shula préférera-t-elle vivre prisonnière comme une sorcière ou libre comme une chèvre ? Réalisé par Rungano Nyoni Avec Margaret Mulubwa, Henry B.J. Phiri, Nancy Mulilo... Sortie en DVD et VOD : le 3 juillet Bonus DVD : Entretien avec Rungano Nyoni

Épouvante-horreur

Annabelle : Trop facile, malgré une ambiance soignée

Pour un film réalisé à la hâte après le succès de Conjuring - Les Dossiers Warren l'année dernière, Annabelle réussit à trouver un chemin presque satisfaisant, bien que trop hésitant. Doté d'une mise en scène maladroite largement influencée par le film Rosemary's Baby, le film de John R. Leonetti repose sur une intriguée basique et des jumpscares trop prévisibles. Cependant, quelques passages s'avèrent plutôt efficaces et Annabelle parvient à maintenir une ambiance intéressante qui saura faire son petit effet chez les plus jeunes sensibles. Seule l'utilisation de la poupée Annabelle me laisse réellement perplexe, car l'objet est précédé par sa réputation mais s'avère finalement secondaire dans son propre film. Étrange.