Épouvante-horreur

[CRITIQUE] L’Exorciste du Vatican, de Julius Avery

Inspiré des véritables archives du Père Gabriele Amorth, exorciste en chef du Vatican. Le Père Gabriele Amorth enquête suite à la découverte terrifiante d'un jeune garçon possédé. Ses investigations le mèneront à dévoiler une conspiration séculaire que le Vatican a désespérément tenté de maintenir dans l'oubli.

Comédie, Drame

[CRITIQUE] Une Fille Facile, de Rebecca Zlotowski

Naïma a 16 ans et vit à Cannes. Alors qu'elle se donne l'été pour choisir ce qu'elle veut faire dans la vie, sa cousine Sofia, au mode de vie attirant, vient passer les vacances avec elle. Ensemble, elles vont vivre un été inoubliable.

Drame, Policier, Thriller

[CRITIQUE] Destroyer, de Karyn Kusama

La détective du LAPD Erin Bell a jadis infiltré un gang du désert californien, ce qui a eu de conséquences dramatiques. Lorsque le chef de la bande réapparaît, elle doit fouiller dans le passé pour se défaire de ses démons.

Épouvante-horreur

[CRITIQUE] Unfriended: Dark Web, de Stephen Susco

Un jeune homme trouve un ordinateur portable et, innocemment, le ramène chez lui. Dans les dossiers, il déniche d'inquiétants fichiers cachés qu'il s'empresse de montrer à ses amis sur Skype. Sans le vouloir, tous se retrouvent dans les tréfonds du Dark Web et découvrent rapidement que quelqu'un les observe et que cet inconnu est prêt à tout pour récupérer son portable et protéger ses secrets.

Action, Sci-fi

[CRITIQUE] The Predator, de Shane Black

Monstre sacré de la fin des années 80 (après Alien), The Predator revient pour une nouvelle partie de chasse à l'homme sous la houlette défaillante d'un Shane Black un peu paumé entre l'hommage un peu foireux et le conceptuel bâclé. Étrangement, l'ensemble n'est pas déplaisant : si on met de coté le film original de John McTiernan, The Predator possède un je-ne-sais-quoi complètement foutraque et en roue libre qui, entre ses personnages qui oscillent du loufoque au succédané moderne de la team Schwarzy et le spectacle graphique et sanglant, parvient à capter l'attention. Globalement, c'est du grand n'importe quoi qui, personnellement, m'a amusée. Comment ça, ce n'était pas le but ?

Comédie

[CRITIQUE] Milf, d’Axelle Laffont

Trois amies d’enfance partent dans le Sud vider la maison de l’une d’entre elles, afin de la vendre. Pendant ces quelques jours, elles vont devenir les cibles privilégiées de trois jeunes garçons, pour qui ces femmes seules, approchant la quarantaine, sont bien plus séduisantes que les filles de leur âge… Cécile, Sonia et Elise découvrent avec bonheur,qu’elles sont des MILF !

Comédie

[CRITIQUE] La Monnaie De Leur Pièce, d’Anne Le Ny

Paul, Nicolas et Charlotte, trois frères et sœur, ont toujours pensé qu’ils hériteraient de la riche tante Bertille. Hélas pour eux, à la mort de la vieille dame, ils découvrent qu’elle a tout légué à Eloïse, cette cousine exaspérante et pot-de-colle qu’ils n’avaient pas vue depuis longtemps. En faisant à nouveau irruption dans leur vie, que cherche-t-elle exactement ?

Action, Sci-fi

[CRITIQUE] Geostorm, de Dean Devlin

Grâce à une coopération sans précédent entre États, un réseau de satellites contrôle désormais le climat et protège les populations. Jusqu'à ce que le dispositif se dérègle… S'agit-il d'un complot ou d'une faille dans le système ? S'engage alors une véritable course contre la montre…

Comédie

[CRITIQUE] Sisters, de Jason Moore

Si les comédies d'ados fêtards vous épuisaient déjà, Sisters est là pour asséner le coup de grâce. Déjà mollement attendu, le film de Jason Moore arrive bien tardivement pour cristalliser l'amitié de Tina Fey et Amy Poehler sur grand écran, des lustres après qu'elles aient fait se gausser le parterre Hollywoodien grâce à leur humour osé, en animant les cérémonies des Golden Globes en duo, trois fois de suite. Résultat, Sisters ressert un humour réchauffé, si retravaillé et prévisible qu'il s'en dégage un sentiment de désespoir et d'usure, tant l'ensemble est criard, m'as-tu-vu et téléphoné. Là où les comédies ados ou adolescentes peuvent vaguement inspirer, Sisters inspirent surtout de la pitié et de la gêne, surtout quand on voit ces deux actrices, normalement hilarantes, se vautrer dans un film aussi ringard. Au secours !