Le White Lotus de Taormine ouvre ses portes à ses nouveaux pensionnaires dans un cadre époustouflant. Mais sous le lustre apparent de cet endroit féérique, les petites histoires des occupants de l'hôtel peuvent vite se transformer en énormes problèmes. Créée par Mike White - Avec Jennifer Coolidge, F. Murray Abraham, Aubrey Plaza, Theo James, Adam DiMarco, Meghann Fahy, Sabrina Impacciatore, Simona Tabasco... - Disponible à la demande sur OCS (pour l'instant)
Étiquette : antipathique
[CRITIQUE] Bones And All, de Luca Guadagnino
Maren part à la recherche de sa mère et rencontre Lee, un adolescent à la dérive qui va l’embarquer dans un road trip enflammé sur les routes de l’Amérique profonde. Leur amour naissant sera-t-il suffisamment fort pour résister à leurs démons, leur passé et le regard d’une société qui les considère comme des monstres ?
[CRITIQUE] Antebellum + I’m Thinking of Ending things avec #spoilers et explications (podcast)
Pour cet épisode, je reviens sur deux films : Antebellum, de Gerard Bush et Christopher Renz et le film Netflix Je Veux Juste En Finir (I'm Thinking of Ending Things), de Charlie Kaufman. Entre mystère et thriller, deux films qui jouent avec les apparences et avec les nerfs de son (télé)spectateur. Attention : ce podcast contient des spoilers.
[CRITIQUE] Le Bonheur des Uns…, de Daniel Cohen
Léa, Marc, Karine et Francis sont deux couples d’amis de longue date. Le mari macho, la copine un peu grande-gueule, chacun occupe sa place dans le groupe. Mais, l’harmonie vole en éclat le jour où Léa, la plus discrète d’entre eux, leur apprend qu’elle écrit un roman, qui devient un best-seller. Loin de se réjouir, petites jalousies et grandes vacheries commencent à fuser. Humain, trop humain ! C'est face au succès que l'on reconnait ses vrais amis… Le bonheur des uns ferait-il donc le malheur des autres ? Réalisé par Daniel Cohen En salles le 9 septembre 2020 Avec Vincent Cassel, Bérénice Bejo, Florence Foresti, François Damiens...
[CRITIQUE] Avis express : Terrible Jungle et Enragé
Vus au cinéma à la fin de l'été, ces deux films ne m'ont pas beaucoup marqué. D'un coté : une comédie française qui se rêve burlesque mais qui tombe à plat, de l'autre coté, un film testostéroné américain qui fleure bon l'incivilité irrationnelle. Deux univers différents et décalés sur lesquels j'ai surfé sans véritablement y adhérer.
[CRITIQUE] Frank, de Lenny Abraham
Expérimental, drôle et déprimant, Frank est une comédie peu ordinaire hanté par des passages tout aussi particuliers. Entre musique d'un autre genre et conversations lunaires, le film de Lenny Abraham suit un groupe de musiciens atypiques et marginaux, réunit par leurs différences. Sous l’œil d'un héros "normal", Frank dissèque la folie libre avec un humour décalé bien venu mais oublie trop souvent de rendre ses personnages appréciables. Dommage.
Dans l’ombre de Mary : Attendrissant et émouvant
Si le film Mary Poppins de Robert Stevenson (1964) est un classique, l'histoire derrière la genèse du film n'en est pas moins extraordinaire. 50 ans plus tard, Dans l'ombre de Mary : La promesse de Walt Disney lève le voile sur la rencontre fascinante entre l'acariâtre P.L. Travers, l'auteure du livre Mary Poppins et les studios Disney, pour nous proposer une histoire attendrissante, aussi rocambolesque que touchante. La magie Disney a encore frappé !
