Dans l’antique Kahndaq, l’esclave Teth Adam avait reçu les super-pouvoirs des dieux. Mais il en a fait usage pour se venger et a fini en prison. Cinq millénaires plus tard, alors qu’il a été libéré, il fait régner sa conception très sombre de la justice dans le monde. Refusant de se rendre, Teth Adam doit affronter une bande de héros d’aujourd’hui qui composent la Justice Society – Hawkman, le Dr Fate, Atom Smasher et Cyclone – qui comptent bien le renvoyer en prison pour l’éternité.
Étiquette : testostérone
[CRITIQUE] The Gray Man, de Joe et Anthony Russo
"Gray Man" est le nom de code de l’agent de la CIA Court Gentry, alias Sierra Six. Recruté dans une prison fédérale par son officier traitant, Donald Fitzroy, Gentry était autrefois un redoutable tueur à gages à la solde de la CIA. Mais la situation a radicalement changé : Gentry est désormais la cible de Lloyd Hansen, ancien comparse de la CIA, totalement déterminé à le traquer à travers le monde pour l’éliminer. L’agent Dani Miranda le couvre – et il en aura besoin.
[CRITIQUE] Top Gun: Maverick, de Joseph Kosinski
Après avoir été l’un des meilleurs pilotes de chasse de la Marine américaine pendant plus de trente ans, Pete “Maverick" Mitchell continue à repousser ses limites en tant que pilote d'essai. Il refuse de monter en grade, car cela l’obligerait à renoncer à voler. Il est chargé de former un détachement de jeunes diplômés de l’école Top Gun pour une mission spéciale qu’aucun pilote n'aurait jamais imaginée. Lors de cette mission, Maverick rencontre le lieutenant Bradley “Rooster” Bradshaw, le fils de son défunt ami, le navigateur Nick “Goose” Bradshaw. Face à un avenir incertain, hanté par ses fantômes, Maverick va devoir affronter ses pires cauchemars au cours d’une mission qui exigera les plus grands des sacrifices. Le film est présenté hors-compétition au Festival de Cannes 2022.
[CRITIQUE] Avis express : Terrible Jungle et Enragé
Vus au cinéma à la fin de l'été, ces deux films ne m'ont pas beaucoup marqué. D'un coté : une comédie française qui se rêve burlesque mais qui tombe à plat, de l'autre coté, un film testostéroné américain qui fleure bon l'incivilité irrationnelle. Deux univers différents et décalés sur lesquels j'ai surfé sans véritablement y adhérer.
[SÉRIE TV] Validé : Coup de cœur du moment, entre rap à l’ancienne et rivalité musclée
Un jeune rappeur talentueux, épaulé par ses deux amis d’enfance, se retrouve du jour au lendemain "Validé" par une des stars du milieu. Seulement, cette alliance se transforme rapidement en une dangereuse rivalité... Créée par Franck Gastambide, Charles Van Tieghem, Xavier Lacaille Avec Hatik, Saïdou Camara, Brahim Bouhlel... Disponible sur Canal+ et Canal+ Séries
[CRITIQUE] Tyler Rake (Extraction), de Sam Hargrave
Tyler Rake est un mercenaire intrépide qui travaille dans l'ombre. Alors qu'il n'a plus rien à perdre, il est chargé par un puissant caïd mafieux, pour l'heure incarcéré, de sauver son fils qui a été enlevé. Mais dans le milieu glauque de la pègre, où se côtoient marchands d'armes et narcotrafiquants, la mission ultra-périlleuse de Rake frôle l'impossible. Et la vie du mercenaire et du jeune garçon risque d'en être bouleversée à jamais...
[CRITIQUE] The Gentlemen, de Guy Ritchie
Qu'il est jouissif de retrouver Guy Ritchie sur son terrain de jeu favori, aidé par un fabuleux casting qui s'en donne à cœur joie. Prestations 5 étoiles, punchlines à gogo, narration ludique et dynamique... si The Gentlemen ne renouvelle pas le genre et reste assez prévisible dans l'ensemble, on en ressort pleinement diverti. Retour aux sources pour Guy Ritchie !
[CRITIQUE] Fast and Furious: Hobbs and Shaw, de David Leitch
La saga Fast and Furious s'offre un premier spin-off musclé centré sur une bromance qui a éclos dans le dernier chapitre de la franchise. Écrit par Chris Morgan et mis en scène par David Leitch, Hobbs and Shaw conserve l'ADN de la saga : testostérone, famille et scène d'actions échevelées, à coup de poings ou au volant. Porté par un récit à la fois dense et ramassé sur une timeline très courte, Hobbs and Shaw est un concentré explosif constamment au bord de l'overdose. Entre punchlines à rallonge et une intrigue à surcouches, le film de David Leitch fait excessivement le job mais ne parvient pas à échapper à quelques sorties de route.
[CRITIQUE] Peppermint, de Pierre Morel
Badass et violente, l'héroïne de Peppermint s'impose avec aplomb à travers un film d'action et de revanche ambitieux, imparfait mais plutôt bien fichu et honnête. Si Pierre Morel en fait parfois trop avec une tendance à la caricature exagérée et au recours à une trame simplette et peu inventive, l'ensemble reste efficace. Peppermint tient ses promesses et livre un ensemble divertissant, brut et finalement convaincant. Et pourquoi pas, une origin story à perfectionner ?
[CRITIQUE] American Assassin, de Michael Cuesta
Nerveux, criblé d'action et de testostérones, American Assassin propose une intrigue certes classique mais bien rodée, rendant l'ensemble aussi efficace que divertissant. Michael Cuesta livre un film assumé et relativement crédible, qui se démarque des récents opus du même genre qui cherchaient trop à duper le spectateur. Ici, American Assassin adapte un anti-Bond, sur fond de… Lire la suite [CRITIQUE] American Assassin, de Michael Cuesta
[CRITIQUE] Telle Mère, Telle Fille, de Noémie Saglio
Superficiel, hystérique et épuisant, le dernier film tout droit sorti de l'imagination pétrie de clichés de Noémie Saglio persiste à caricaturer les genres, en s'attaquant cette fois aux relations mère-fille à travers leurs grossesses respectives. Dénué d'imagination, Telle Mère, Telle Fille s'étire péniblement à travers les poutres apparentes du scénario à la facilité effarante et aux traits d'humour téléphonés et très peu recherchés. À défaut d'une comédie pétillante, Noémie Saglio sert un film au rabais, globalement peu crédible et à peine sauvé par le charme de Juliette Binoche.
[CRITIQUE] John Wick 2, de Chad Stahelski
Chad Stahelski et Keanu Reeves sont de retour pour John Wick 2, avec une suite de la même trampe que le premier opus, voire mieux. Fun et plus costaud, John Wick 2 ravira les amateurs du genre car il conserve sa tonalité sombre et violente, mêlant vengeance et nerf à vif dans un film d'action millimétrée. Cascades et combats saisissants sont au rendez-vous, accentuant l'excellent travail de mise en scène et la chorégraphie des affrontements qui permettent d'être aux premières loges à chaque instant, grâce à un POV immersif et nerveux. Bref, Chad Stahelski signe une suite réussie : noire, violente mais décomplexée et assumée. Génial !