Action

[CRITIQUE] Mission: Impossible – Dead Reckoning Partie 1, de Christopher McQuarrie

L’art de maîtriser les codes blockbusteriens n’est plus à prouver pour le duo Tom Cruise et Christopher McQuarrie. Avec Mission: Impossible - Dead Reckoning Partie 1, la franchise reste dans ce qu’elle sait faire de mieux mais en profite surtout pour soigner la forme. Résultat : Ce nouvel opus offre un spectacle époustouflant, combinant habilement action intense et tension palpitante. Les personnages sont mieux développés et des clins d'œil aux origines de la saga ajoutent une dimension supplémentaire. Une belle réussite estivale qui donne envie de voir la suite.

Thriller

[CRITIQUE] Red Sparrow, de Francis Lawrence

Une jeune ballerine, dont la carrière est brisée nette après une chute, est recrutée contre sa volonté par les services secrets russes. Entraînée à utiliser ses charmes et son corps comme des armes, elle découvre l’ampleur de son nouveau pouvoir et devient rapidement l’un de leurs meilleurs agents. Sa première cible est un agent infiltré de la CIA en Russie. Entre manipulation et séduction, un jeu dangereux s’installe entre eux.

Action, Policier, Thriller

[CRITIQUE] Criminal Squad, de Christian Gudegast

Chaque jour, 120 millions de dollars en liquide sont retirés de la circulation et détruits par la Réserve fédérale de Los Angeles. Un gang de braqueurs multirécidivistes va tenter l’audacieux tout de force de mettre la main dessus. Mais, ils vont se heurter à une unité d'élite de la police qui n’a pas l'intention de jouer dans les règles de l'art. Tous les coups sont permis pour coincer ces gangsters prêts à tout.

Comédie

[CRITIQUE] Joy, de David O. Russell

Après Hapiness Therapy et American Bluff, David O. Russell est de retour avec un film au casting bien familier et une histoire plutôt déconcertante (pour ne pas dire décevante). Sans surprise, Joy tente de noyer le poisson dans une cacophonie familiale et survoltée pour mieux forcer le trait sur une héroïne méritante qui fabrique des serpillières pour sauver le monde (ou presque). Si les intentions de David O. Russell sont claires, il choisit le chemin le plus compliqué pour y parvenir au lieu d'assumer pleinement le parcours modeste de son personnage. Au bout de trois films fabriqués dans le même moule, Joy ne parvient pas à donner le change bien longtemps et fleure bon l'arnaque. Et si le très bon Fighter était l'exception qui confirme la règle ?