Un tournage de film de zombies dans un bâtiment désaffecté. Entre techniciens blasés et acteurs pas vraiment concernés, seul le réalisateur semble investi de l’énergie nécessaire pour donner vie à un énième film d'horreur à petit budget. L’irruption d’authentiques morts-vivants va perturber le tournage… Le film est présenté hors-compétition au Festival de Cannes 2022 et en fait l'ouverture.
Étiquette : délire
[CRITIQUE] Office, de Johnnie To
Hong-Kong, 2008. Le jeune idéaliste Lee Xiang et la surdouée Kat Ho font leurs débuts chez Jones & Sunn, une multinationale sur le point d’entrer en bourse. Alors que la banque Lehman Brothers fait faillite aux États-Unis, la tension commence à se faire sentir au sein de l’entreprise. Lee Xiang et Kat Ho vont petit à petit découvrir le monde extravagant et outrancier de la finance…
[CRITIQUE] Lego Batman – le film, de Chris McKay
Il en rêvait depuis La Grande Aventure Lego : Batman est enfin le héros de son propre film ! Mais la situation a bien changé à Gotham – et s'il veut sauver la ville des griffes du Joker, il lui faudra arrêter de jouer au justicier masqué et découvrir le travail d'équipe ! Peut-être pourra-t-il alors se décoincer un peu…
[CRITIQUE] Oppression, de Farren Blackburn
Le pitch : Depuis le décès de son époux, Mary, pédopsychiatre, vit seule avec son beau-fils dans un chalet isolé de la Nouvelle-Angleterre. À l’approche d’une violente tempête de neige, Tom, l’un de ses jeunes patients, est porté disparu. Mary, tout à coup sujette à des hallucinations et prise de paranoïa, est bien décidée à retrouver le jeune garçon avant qu’il ne disparaisse à jamais.
[CRITIQUE] Nos Pires Voisins 2, de Nicholas Stoller
Après un premier opus qui avait pourtant tout du one-shot, Nicholas Stoller revient avec Nos Pires Voisins 2, confrontant son couple fétiche à une sororité en roue libre et bien décidée à leur en faire baver. Évitant joliment les clichés trop girly, Nos Pires Voisins livre une suite encore plus barrée et délirante, profitant de… Lire la suite [CRITIQUE] Nos Pires Voisins 2, de Nicholas Stoller
[CRITIQUE] Inherent Vice, de Paul Thomas Anderson
Compliqué, fade, laborieux… le dernier film de Paul Thomas Anderson réussit si bien à retranscrire la vision enfumées des années hippies qu'il n'en reste qu'un amas de dialogues insipides, à la frontière d'élucubrations incompréhensibles et d'inspirations psychédéliques. Coincés quelque part entre le trip planant et les essais un peu arty, Inherent Vice, c'est presque deux heures et demie perdues dans un océan de vide où des acteurs talentueux s'agitent sous la houlette d'un cinéaste d'ordinaire... extraordinaire mais qui, pour la première fois, se plante violemment.
