Tout en musique, Babylon propose une plongée enivrante et pleine d'excès dans le monde du cinéma des années 20. Entre exubérance et révolution technique, Damien Chazelle revisite l'excitation et les désillusions d'un monde mouvant, dans un ensemble lumineux, ambitieux et débordant. Accrochez-vous, ça secoue (et ça fait plaisir) !
Étiquette : bordel
[CRITIQUE] Il Était Une Fois 2 (Disenchanted), d’Adam Shankman
Giselle et Robert sont mariés depuis 15 ans. Lassés de la vie citadine, ils emménagent dans le quartier résidentiel de Monroeville avec leur petite famille, dans l’espoir de mener une existence un peu plus féerique. Malheureusement, les choses ne se déroulent pas sans accrocs. Les banlieues chics sont régies de façon stricte, comme ne cesse de le rappeler Malvina Monroe, gardienne du temple autoproclamée. Résultat : Giselle se sent plus isolée que jamais. Frustrée que le bonheur promis soit si difficile à trouver, elle fait appel à la magie d’Andalasia et transforme accidentellement son quartier en un véritable conte de fées, au risque de mettre en péril le bonheur de sa famille. Embarquée dans une course contre la montre, elle devra conjurer l’enchantement et se poser la question de savoir ce qu’elle et sa famille entendent vraiment par l’expression « … Ils vécurent heureux ».
[CRITIQUE] The Predator, de Shane Black
Monstre sacré de la fin des années 80 (après Alien), The Predator revient pour une nouvelle partie de chasse à l'homme sous la houlette défaillante d'un Shane Black un peu paumé entre l'hommage un peu foireux et le conceptuel bâclé. Étrangement, l'ensemble n'est pas déplaisant : si on met de coté le film original de John McTiernan, The Predator possède un je-ne-sais-quoi complètement foutraque et en roue libre qui, entre ses personnages qui oscillent du loufoque au succédané moderne de la team Schwarzy et le spectacle graphique et sanglant, parvient à capter l'attention. Globalement, c'est du grand n'importe quoi qui, personnellement, m'a amusée. Comment ça, ce n'était pas le but ?
[CRITIQUE] Hors Contrôle, de Jake Szymanski
Dave et Mike, frères et rois de la fête, sont mis sous pression par leur entourage qui leur réclame de se ranger. Grâce à une annonce en ligne, ils trouvent deux femmes parfaites pour les accompagner au mariage de leur sœur à Hawaï, mais les deux garçons se retrouvent complètement dépassés par ce duo qui s’avère en réalité encore plus incontrôlable qu’eux.
[CRITIQUE] Nos Pires Voisins 2, de Nicholas Stoller
Après un premier opus qui avait pourtant tout du one-shot, Nicholas Stoller revient avec Nos Pires Voisins 2, confrontant son couple fétiche à une sororité en roue libre et bien décidée à leur en faire baver. Évitant joliment les clichés trop girly, Nos Pires Voisins livre une suite encore plus barrée et délirante, profitant de… Lire la suite [CRITIQUE] Nos Pires Voisins 2, de Nicholas Stoller
Sous les jupes des filles : Décevant et réducteur, malgré un casting alléchant
Guilleret et dynamique, Sous Les Jupes Des Filles est une comédie se voulait actuelle, cherchant à démystifier les femmes d'aujourd'hui. Au premier coup d’œil, Audrey Dana réussit son pari ambitieux en réunissant un casting de rêve et plusieurs trames sympathiques et girly. Mais en y regardant de plus près, derrière un ton faussement osé, Sous Les Jupes Des Filles est tout ce qu'il y a de plus conventionnel tant le film aligne les clichés et autres stéréotypes fumeux, en s'appuyant sur un concept plutôt sexiste (!). Derrière le glamour et le quotidien sexy de ces femmes se cache en vérité un film parfois gênant et surtout bâclé, le tout saupoudré par un poil de vulgarité et une mise en scène trop souvent négligée.