Encore une année scolaire de passée et même si nous ne sommes plus à l’école, les grandes vacances sont souvent synonymes d’une pause bien méritée. Voici une liste de séries sympathiques que j’ai découvertes cette année contenant une bonne dose de comédie, un bon morceau de féminisme, une pincée de meurtre, le tout saupoudré de parcours initiatique. Tout pour passer un été léger, tranquille et ensoleillé...
Étiquette : guest
[CRITIQUE] Ocean’s 8, de Gary Ross
Après Steven Soderbergh, c'est Gary Ross qui propose la relève de la saga Ocean. À peine rehaussé par un casting (et des caméos) alléchant, Ocean's 8 propose un spin-off féminisé à outrance, baignant dans le luxe, la mode et les bijoux pour bien souligner le changement de sexe de ses personnages, et manque surtout d'originalité de d'imagination. Déjà vu, prévisible et surtout caricatural, Gary Ross aura beau changer les joueurs, il semblerait que l'ère des films de braquages est bel et bien révolue.
[SÉRIE TV] The Mindy Project : Retour sur une déception romantique (en 6 saisons)
Mindy Lahiri, une femme médecin trentenaire, gaffeuse, impatiente et désespérément romantique, estime que le moment est venu pour elle de prendre de bonnes résolutions afin que la chance puisse enfin lui sourire en amour et dans tous les autres domaines. Elle a l’intention d’être plus ponctuelle et moins dépensière, de lire plus de livres et de perdre du poids ! En devenant parfaite, elle espère tout naturellement rencontrer enfin son homme parfait… Créée par Mindy Kaling Avec Mindy Kaling, Ed Weeks, Ike Barinholtz…
[SUMMER TV] Point séries TV de la saison 2016/17
Débutantes ou confirmées, chaque année les séries repartent quasiment de la case départ pour proposer des épisodes qui se valent et qui méritent de tenir jusqu’au bout de la saison. Un petit point s’impose… Attention : cet article contient des spoilers…
[CRITIQUE] Zoolander 2, de Ben Stiller
S'il aura fallu pratiquement 15 ans pour revoir Zoolander sur grand écran, il faut moins de 15 minutes dans Zoolander 2 pour regretter d'être dans la salle. Ben Stiller, habituellement plus inspiré, nous refourgue une suite sans âme, boostée par des caméos de stars à n'en plus finir, afin de masquer l'abysse monumentale d'un scénario accablant et honteux, qui se traine dans une simili comédie d'espionnage réchauffée et prévisible au possible. Si dans le premier opus Ben Stiller visait juste, entre parodie et satire de l'industrie de la mode, à travers un personnage certes stupide mais foncièrement naïf et attachant, dans Zoolander 2, toute cette subtilité est absente. Résultat, c'est moche, pas drôle et surtout insupportable.
