Thriller

[CRITIQUE] Le Bonhomme de Neige, de Tomas Alfredson

Adapté du roman de Jo Nesbø, Le Bonhomme de Neige est un thriller policier tortueux explorant la dimension familiale à travers la traque d'un tueur insaisissable. Tomas Alfredson signe un film au début prenant, aussi bien grâce à son intrigue qu'une atmosphère glacée savamment entretenue, mais rapidement l'ensemble se laisse posséder par une léthargie latente. Manquant de dynamisme et de maîtrise, Le Bonhomme de Neige saborde son dernier tiers à travers une conclusion tronquée et un poil creuse. Dommage.

Comédie

[CRITIQUE] Logan Lucky, de Steven Soderbergh

Deux frères pas très futés décident de monter le casse du siècle : empocher les recettes de la plus grosse course automobile de l’année. Pour réussir, ils ont besoin du meilleur braqueur de coffre-fort du pays : Joe Bang. Le problème, c’est qu’il est en prison…

Comédie

[CRITIQUE] Marie-Francine, de Valérie Lemercier

Trop vieille pour son mari, de trop dans son boulot, Marie-Francine doit retourner vivre chez ses parents... ... à 50 ans ! Infantilisée par eux, c'est pourtant dans la petite boutique de cigarettes électroniques qu'ils vont lui faire tenir, qu'elle va enfin rencontrer Miguel. Miguel, sans oser le lui avouer, est exactement dans la même situation qu'elle. Comment vont faire ces deux-là pour abriter leur nouvel amour sans maison, là est la question...

Drame

[CRITIQUE] Lion, de Garth Davis

Une incroyable histoire vraie : à 5 ans, Saroo se retrouve seul dans un train traversant l’Inde qui l’emmène malgré lui à des milliers de kilomètres de sa famille. Perdu, le petit garçon doit apprendre à survivre seul dans l’immense ville de Calcutta. Après des mois d’errance, il est recueilli dans un orphelinat et adopté par un couple d’Australiens. 25 ans plus tard, Saroo est devenu un véritable Australien, mais il pense toujours à sa famille en Inde. Armé de quelques rares souvenirs et d’une inébranlable détermination, il commence à parcourir des photos satellites sur Google Earth, dans l’espoir de reconnaître son village. Mais peut-on imaginer retrouver une simple famille dans un pays d’un milliard d’habitants ?