Le navire de commerce Demeter quitte la Transylvanie pour un long voyage vers Londres, avec à son bord une mystérieuse cargaison. D'étranges événements vont alors survenir et décimer peu à peu les membres d'équipage. Les survivants vont tenter de survivre à une présence qui sévit chaque nuit sur le Demeter.
Étiquette : désenchanté
[CRITIQUE] Les Faussaires de Manhattan, de Marielle Heller
Ancienne auteure à succès aujourd’hui sans le sou, Lee Israel se découvre par hasard un don exceptionnel : celui d’imiter à la perfection le style de grands romanciers. Avec l’aide de son ami Jack, elle monte une arnaque imparable: rédiger de fausses correspondances entre auteurs célèbres, que Jack revend à prix d’or aux collectionneurs new-yorkais. Grisés par le succès, les deux faussaires ne voient pas que le FBI commence à s’intéresser à eux...
[CRITIQUE] Galveston, de Mélanie Laurent
1988. Les temps sont durs pour Roy, petit gangster de la Nouvelle-Orléans. La maladie le ronge. Son boss lui tend un guet-apens auquel il échappe de justesse. Une seule issue : la fuite, en compagnie de Rocky, une jeune prostituée. Deux êtres que la vie n’a pas épargnés. En cavale vers la ville de Galveston, ils n’ont plus rien à perdre…
[CRITIQUE] La Fête Est Finie, de Marie Garel-Weiss (Sortie DVD)
La Fête Est Finie, c’est l’histoire d’une renaissance, celle de Céleste et Sihem. Arrivées le même jour dans un centre de désintoxication, elles vont sceller une amitié indestructible. Celle-ci sera autant une force qu’un obstacle lorsque, virées du centre, elles se retrouvent livrées à elles-mêmes, à l’épreuve du monde réel et de ses tentations. Le vrai combat commence alors, celui de l’abstinence et de la liberté, celui vers la vie. Réalisé par Marie Garel-Weiss Avec Zita Hanrot, Clémence Boisnard, Michel Muller... Sortie en DVD : le 21 août Bonus DVD : Entretien avec Marie Garel-Weiss, scènes coupées
[CRITIQUE] Moi, Tonya, de Craig Gillespie
En 1994, le milieu sportif est bouleversé en apprenant que Nancy Kerrigan, jeune patineuse artistique promise à un brillant avenir, est sauvagement attaquée. Plus choquant encore, la championne Tonya Harding et ses proches sont soupçonnés d'avoir planifié et mis à exécution l'agression…
[CRITIQUE] American Honey, d’Andrea Arnold
Solaire, insolent et marginal, Andrea Arnold transforme un road-trip improvisé en une observation à cœur ouvert d'une jeunesse insouciante et parfois indécente, entre amours perturbées et absences de repères. Habité par des personnages à vif, American Honey livre une histoire sans fioriture et porté par une sincérité criarde, parfois dérangeante mais profondément marquée par la férocité de ses émotions, entre envie de liberté et fuite en avant. Un peu long, certes, mais étonnamment lumineux, abouti et captivant.
