Sur Inisherin - une île isolée au large de la côte ouest de l'Irlande - deux compères de toujours, Padraic et Colm, se retrouvent dans une impasse lorsque Colm décide du jour au lendemain de mettre fin à leur amitié. Abasourdi, Padraic n’accepte pas la situation et tente par tous les moyens de recoller les morceaux, avec le soutien de sa sœur Siobhan et de Dominic, un jeune insulaire un peu dérangé. Mais les efforts répétés de Padraic ne font que renforcer la détermination de son ancien ami et lorsque Colm finit par poser un ultimatum désespéré, les événements s’enveniment et vont avoir de terribles conséquences.
Étiquette : cynique
[CRITIQUE] Glass Onion : Une Histoire à Couteaux Tirés, de Rian Johnson
Direction la Grèce pour le célèbre détective Benoit Blanc, qui doit élucider un mystère entourant un milliardaire de la technologie et son groupe d'amis hauts en couleur.
[CRITIQUE] L’Origine du Mal, de Sébastien Marnier
Dans une luxueuse villa en bord de mer, une jeune femme modeste retrouve une étrange famille : un père inconnu et très riche, son épouse fantasque, sa fille, une femme d’affaires ambitieuse, une ado rebelle ainsi qu’une inquiétante servante. Quelqu’un ment. Entre suspicions et mensonges, le mystère s’installe et le mal se répand...
[CRITIQUE] Barbaque, de Fabrice Eboué
Vincent et Sophie sont bouchers. Leur commerce, tout comme leur couple, est en crise. Mais leur vie va basculer le jour où Vincent tue accidentellement un vegan militant qui a saccagé leur boutique… Pour se débarrasser du corps, il en fait un jambon que sa femme va vendre par mégarde. Jamais jambon n’avait connu un tel succès ! L’idée de recommencer pourrait bien les titiller...
[CRITIQUE] I Care A Lot, de J Blakeson
Marla Grayson est une tutrice réputée spécialisée auprès d'individus âgés et riches. Aux dépens de ces derniers, elle mène une vie de luxe. Mais sa prochaine victime s'avère avoir de dangereux secrets. Marla va devoir utiliser son esprit et sa ruse si elle souhaite rester en vie... Disponible sur Netflix
[CRITIQUE] Little Monsters, d’Abe Forsythe
Comédie noire et déjantée, Little Monsters arrive à point nommé pour le mois d'Halloween pour proposer un survival drôle, un poil glauque mais original où une invasion de zombie est transformée en terrain de jeu. Si l'ensemble semble souvent mal dégrossi et perd en puissance en cours de route, Abe Forsythe parvient à ensoleiller un genre habituellement gore et apocalyptique. Du zombie fun ? C'est encore possible.
[CRITIQUE] Les Faussaires de Manhattan, de Marielle Heller
Ancienne auteure à succès aujourd’hui sans le sou, Lee Israel se découvre par hasard un don exceptionnel : celui d’imiter à la perfection le style de grands romanciers. Avec l’aide de son ami Jack, elle monte une arnaque imparable: rédiger de fausses correspondances entre auteurs célèbres, que Jack revend à prix d’or aux collectionneurs new-yorkais. Grisés par le succès, les deux faussaires ne voient pas que le FBI commence à s’intéresser à eux...
[CRITIQUE] Place Publique, d’Agnès Jaoui
Castro, autrefois star du petit écran, est à présent un animateur sur le déclin. Aujourd'hui, son chauffeur, Manu, le conduit à la pendaison de crémaillère de sa productrice et amie de longue date, Nathalie, qui a emménagé dans une belle maison près de Paris. Hélène, sœur de Nathalie et ex-femme de Castro, est elle aussi invitée. Quand ils étaient jeunes, ils partageaient les mêmes idéaux mais le succès a converti Castro au pragmatisme (ou plutôt au cynisme) tandis qu'Hélène est restée fidèle à ses convictions. Leur fille, Nina, qui a écrit un livre librement inspiré de la vie de ses parents, se joint à eux. Alors que Castro assiste, impuissant, à la chute inexorable de son audimat, Hélène tente désespérément d'imposer dans son émission une réfugiée afghane. Pendant ce temps, la fête bat son plein...
[CRITIQUE] Daphné, de Peter Mackie Burns
Tranche de vie moderne et citadine, Daphné plonge dans un quotidien à la routine bien huilée, entre mal-être et indifférence. Le film de Peter Mackie Burns explore le cheminement vers la prise de conscience d'une jeune femme à la dérive, dans un portrait incisif et sans fioriture. Cependant, malgré un récit abouti, j'ai eu du mal à s'attacher à cette Daphné impassible et souvent froide, à la sensibilité un peu trop engourdie pour être attachante.
[CRITIQUE] La Mort de Staline, de Armando Iannucci
Dans la nuit du 2 mars 1953, un homme se meurt, anéanti par une terrible attaque. Cet homme, dictateur, tyran, tortionnaire, c'est Joseph Staline. Et si chaque membre de sa garde rapprochée - comme Beria, Khrouchtchev ou encore Malenkov - la joue fine, le poste suprême de Secrétaire Général de l'URSS est à portée de main. (Inspiré de faits réels...)