Comment trouver le grand amour dans le monde d’aujourd’hui ? Zoe, documentariste accro aux applis de rencontres, multiplie les rendez-vous hasardeux au grand désarroi de sa mère Cath, un rien excentrique. Pour son ami d’enfance – et voisin – Kaz, la réponse est toute trouvée : il suffit de suivre l’exemple de ses parents et d’opter pour un mariage arrangé (ou « assisté ») avec une jeune fille du Pakistan, aussi ravissante que futée. Alors que Zoe décide de filmer Kaz dans son périple amoureux et d’en faire un documentaire, elle commence à se demander si elle n’aurait pas intérêt à s’inspirer d’une démarche radicalement différente pour trouver – enfin – le grand amour…
Étiquette : mélancolie
[COUP DE CŒUR] Trois Mille Ans À t’Attendre, de George Miller
Alithea Binnie, bien que satisfaite par sa vie, porte un regard sceptique sur le monde. Un jour, elle rencontre un génie qui lui propose d’exaucer trois vœux en échange de sa liberté. Mais Alithea est bien trop érudite pour ignorer que, dans les contes, les histoires de vœux se terminent mal. Il plaide alors sa cause en lui racontant son passé extraordinaire. Séduite par ses récits, elle finit par formuler un vœu des plus surprenants.
[CRITIQUE] 5 raisons de regarder (et d’adorer) The Haunting of Bly Manor (podcast)
Le pitch : Une gouvernante est engagée pour veiller sur deux orphelins vivant dans un manoir isolé en pleine campagne. Peu à peu, d'effrayantes apparitions viennent la hanter. Créée par Mike Flanagan Disponible sur Netflix Avec Victoria Pedretti (You Saison 2, Once Upon a Time... In Hollywood...), T'Nia Miller (Years and Years...), Oliver Jackson-Cohen (Invisible Man...), Rahul Kohli (iZombie...)
[CRITIQUE] Marriage Story, de Noah Baumbach
Un metteur en scène et sa femme, comédienne, se débattent dans un divorce exténuant qui les pousse à des extrêmes... Réalisé par Noah Baumbach Avec Adam Driver, Scarlett Johansson, Laura Dern... Disponible sur Netflix
[RATTRAPAGE 2019] Midsommar et J’ai Perdu Mon Corps
Petit rattrapage de deux films vus ces derniers temps : différents, oui, mais qui m'ont laissé le même sentiment, celui d'avoir vu une œuvre ambitieuse avec un "mais". Double mini-critique pour Midsommar d'Ari Aster et J'ai Perdu Mon Corps de Jérémy Clapin
[CRITIQUE] Last Christmas, de Paul Feig
Sortez vos bouillottes et autres chocolats ou vins chauds : la saison des films de Noël est arrivée au cinéma. Last Christmas est une romance mignonne et chaleureuse, dans laquelle une rencontre va permettre à des personnages en suspens de retrouver un sens à leur existence. Entre meet cute et bons sentiments, le film de Paul Feig se pelotonne dans la guimauve sucrée et faussement british, quitte à décevoir ceux qui - comme moi - espéraient retrouver l'humour auquel le réalisateur nous avait habitué.
[CRITIQUE] Mon Bébé, de Lisa Azuelos
Héloïse est mère de trois enfants. Jade, sa "petite dernière", vient d’avoir dix-huit ans et va bientôt quitter le nid pour continuer ses études au Canada. Au fur et à mesure que le couperet du baccalauréat et du départ de Jade se rapproche, et dans le stress que cela représente, Héloïse se remémore leurs souvenirs partagés, ceux d’une tendre et fusionnelle relation mère-fille, et anticipe ce départ en jouant les apprenties cinéastes avec son IPhone, de peur que certains souvenirs ne lui échappent... Elle veut tellement profiter de ces derniers moments ensemble, qu’elle en oublierait presque de vivre le présent, dans la joie et la complicité qu’elle a toujours su créer avec sa fille, "son bébé".
[CRITIQUE] Galveston, de Mélanie Laurent
1988. Les temps sont durs pour Roy, petit gangster de la Nouvelle-Orléans. La maladie le ronge. Son boss lui tend un guet-apens auquel il échappe de justesse. Une seule issue : la fuite, en compagnie de Rocky, une jeune prostituée. Deux êtres que la vie n’a pas épargnés. En cavale vers la ville de Galveston, ils n’ont plus rien à perdre…
[CRITIQUE] Bohemian Rhapsody, de Bryan Singer (et Dexter Fletcher)
Forcément porté par une bande-originale phénoménale, Bohemian Rhapsody retrace le parcours de Freddie Mercury à travers ses nombreuses facettes. Showman, artiste, diva mais surtout grand mélancolique, le film de Bryan Singer lève le voile sur un aspect plus intime de cette icône du rock... sans trop se mouiller pour autant. Hommage vibrant plutôt que biopic… Lire la suite [CRITIQUE] Bohemian Rhapsody, de Bryan Singer (et Dexter Fletcher)
5 Films pour la journée internationale de la Femme – vol. 2
Il y a 3 ans j'avais recommandé ces 5 films pour la journée internationale de la Femme en 2015. J'avais proposé des femmes badass, dangereuses et féroces, des muses des temps modernes ou fantastiques prêtes à en découdre. Cette fois, je vous propose des films axés sur la période charnière d'une femme : le passage de l'adolescence à l'âge adulte, avec toute la complexité et la difficulté que cela inclut : l'esprit rebelle, l'envie de rébellion et d'affirmation de soi, la prise de risque, la découverte du sexe et la prise de conscience des hommes, de leurs pouvoirs attirants aux dangers qu'ils peuvent représenter. Ou comment devenir adulte à travers une tranche de vie mouvementée, la fascination morbide, la perte d'identité, l'érotisme ou encore l'abandon. Le sexe faible est une illusion : la preuve avec ces 5 films (attention aux spoilers)...
[CRITIQUE] The Disaster Artist, de James Franco
James Franco se penche sur l'histoire de Tommy Wiseau, l'homme derrière le film culte The Room (2003). Aussi curieux que le film d'origine, The Disaster Artist propose une approche à la fois respectueuse et tendre, tandis qu'il nous embarque dans l'univers lunaire d'un personnage insaisissable, incompris et imprévisible. Entre humour, mélancolie et folie douce, le film de James Franco trouve la juste dose entre le divertissement léger et le biopic juste, tout en gardant un esprit fidèle aussi bien envers l'œuvre que l'homme.
[CRITIQUE] Call Me By Your Name, de Luca Guadagnino
Baignant dans la chaleur estivale italienne et une dolce vita nonchalante, Call Me By Your Name séduit par son caractère ensoleillé avant d'imploser dans la sensualité d'une romance interdite, touchante et bouleversante tout en délicatesse et subtilité. Intime et agréable, le film de Luca Guadagnino oscille entre la légèreté de ses personnages et la profondeur des sentiments qui frémissent en surface, évitant habilement les sujets qui fâchent pour laisser la pureté et le naturel d'une histoire enivrante colorer l'ensemble.