Elly Conway est l'auteure solitaire d’une série de romans d’espionnage à succès, dont l’idée du bonheur se résume à une soirée tranquille à la maison avec son ordinateur et son chat, Alfie. Mais lorsque les intrigues de ses livres, centrés sur l'agent secret Argylle et son combat pour démanteler un réseau d'espions mondial, commencent à ressembler étrangement aux opérations secrètes d'une véritable organisation d'espions, sa tranquillité ne devient plus qu’un souvenir. Aux côtés d’Aidan, un espion pourtant allergique aux chats, Elly n’hésite pas à embarquer Alfie dans son sac à dos pour mieux se lancer dans une course contre la montre aux quatre coins de la planète afin de distancer de dangereux tueurs et empêcher ses fictions de dépasser la réalité.
Étiquette : prise de vue
[CRITIQUE] Transfomers : Rise of the Beasts, de Steven Caple Jr.
Transformers : Rise of the Beasts renoue avec l'action et le grand spectacle qui ont séduit des millions de spectateurs à travers le monde. Ce nouveau volet se déroule au cœur des années 90 et nous emmène aux quatre coins du globe. Une toute nouvelle faction de robots Transformers - les Maximals - se joindront aux Autobots dans l’éternelle bataille qu’ils livrent face aux Decepticons.
[CRITIQUE] Ambulance, de Michael Bay
Will Sharp, un vétéran décoré fait appel à la seule personne indigne de confiance, son frère adoptif Danny pour trouver l’argent afin de couvrir les frais médicaux de sa femme. Ce dernier, un charismatique criminel au long cours, au lieu de lui donner de l’argent, lui propose un coup : le plus grand braquage de banque de l’histoire de Los Angeles : 32 millions de dollars. Will, prêt à tout pour sauver sa femme, accepte. Mais quand leur affaire prend un tour spectaculairement désastreux, les deux frères n’ont pas d’autre choix que de détourner une ambulance avec à son bord un vieux flic mortellement blessé et l’ambulancière Cam Thompson. Pendant la course poursuite infernale qui s’ensuit, Will et Danny vont devoir échapper aux forces de l’ordre surmotivées postées aux 4 coins de la ville, tenter de garder leurs otages en vie et éviter de s’entretuer tout en exécutant l’évasion la plus spectaculaire que la ville de Los Angeles n’ait jamais vue.
[CRITIQUE] First Man – Le Premier Homme Sur La Lune, de Damien Chazelle
Pilote jugé « un peu distrait » par ses supérieurs en 1961, Neil Armstrong sera, le 21 juillet 1969, le premier homme à marcher sur la lune. Durant huit ans, il subit un entraînement de plus en plus difficile, assumant courageusement tous les risques d’un voyage vers l’inconnu total. Meurtri par des épreuves personnelles qui laissent des traces indélébiles, Armstrong tente d’être un mari aimant auprès d’une femme qui l’avait épousé en espérant une vie normale.
[CRITIQUE] Transformers – The Last Knight, de Michael Bay
Les robots sont de retour et prêts à en découdre dans un cinquième opus. Plus posé mais toujours déterminé à divertir à l'échelle XXL, Michael Bay livre un film bien plus digeste que le précédent et tente d’égrainer une histoire originale entrecoupée d'actions explosives. Le show est au rendez-vous, toujours aussi ahurissant et porté par un ton à la fois assumé et excessif, cependant Transformers - The Last Knight ne parvient pas toujours à trouver le bon équilibre entre le divertissement un minimum crédible et le spectacle à tendance bordélique qui traverse un ensemble encore bancal. Recette éventée ou besoin de renouveau coté réalisation ? La question se pose, malgré des efforts tout de même notables.
[CRITIQUE] Tarzan, de David Yates
Un torse musclé, des longs cheveux sauvages, des paysages africains grandioses et un cri de guerre qui a traversé les âges... Il n'en faut pas plus pour ressusciter la légende de Tarzan au cinéma, une énième fois. David Yates s'attelle à la tâche en adaptant le livre Tarzan, Seigneur de la Jungle d'Edgar Burroughs en livrant une histoire plus proche de la Légende de Greystoke que des films animés. Un peu bancal, Tarzan se retrouve avec "le cul entre deux chaises", oscillant entre une atmosphère qui se veut plus adulte et brute dans ses scènes d'action pourtant très édulcorées pour apporter au film une dimension familiale, avec des tentatives d'humour trop timides et une romance datée. Tarzan manque de dynamisme autant dans son traitement narratif que visuel, offrant une nouvelle adaptation de l'homme-singe un peu fade, qui fait pâle figure après le film Le Livre de La Jungle, proposé par Disney sorti quelques mois plus tôt.
