Comédie, Drame

[CRITIQUE] I Care A Lot, de J Blakeson

Marla Grayson est une tutrice réputée spécialisée auprès d'individus âgés et riches. Aux dépens de ces derniers, elle mène une vie de luxe. Mais sa prochaine victime s'avère avoir de dangereux secrets. Marla va devoir utiliser son esprit et sa ruse si elle souhaite rester en vie... Disponible sur Netflix

Thriller

[CRITIQUE] Promising Young Woman, de Emerald Fennell

Tout le monde s’entendait pour dire que Cassie était une jeune femme pleine d’avenir…jusqu’à ce qu’un évènement inattendu ne vienne tout bouleverser. Mais rien dans la vie de Cassie n’est en fait conforme aux apparences : elle est aussi intelligente que rusée, séduisante que calculatrice et mène une double vie dès la nuit tombée. Au cours de cette aventure passionnante, une rencontre inattendue va donner l’opportunité à Cassie de racheter les erreurs de son passé.

Comédie, Drame

[CRITIQUE] Jojo Rabbit, de Taika Waititi

Jeu de satire mignon et savoureux, Jojo Rabbit est porté par une douce irrévérence tragi-comique qui anime un récit chargé par une mémoire historique bien réelle. Taika Waititi revisite la jeunesse nazie à travers une fable haute en couleurs, suivant les déboires d'un jeune garçon à l'aube de ses premiers émois. Si le film fait sourire autant qu'il bouleverse, j'attendais néanmoins un objet bien plus piquant et anti-conformiste. Jojo Rabbit se planque un dans un enrobage un poil trop sage, comme si Taika Waititi avait muselé son film pour en faire une œuvre passe-partout, comme un petit bonbon tendre appréciable unanimement. Ceci étant dit, le casting et surtout Roman Griffin Davis, est absolument génial.

Épouvante-horreur, Comédie

[CRITIQUE] Little Monsters, d’Abe Forsythe

Comédie noire et déjantée, Little Monsters arrive à point nommé pour le mois d'Halloween pour proposer un survival drôle, un poil glauque mais original où une invasion de zombie est transformée en terrain de jeu. Si l'ensemble semble souvent mal dégrossi et perd en puissance en cours de route, Abe Forsythe parvient à ensoleiller un genre habituellement gore et apocalyptique. Du zombie fun ? C'est encore possible.