John Wick découvre un moyen de vaincre l’organisation criminelle connue sous le nom de la Grande Table. Mais avant de gagner sa liberté, Il doit affronter un nouvel ennemi qui a tissé de puissantes alliances à travers le monde et qui transforme les vieux amis de John en ennemis.
Étiquette : panache
[CRITIQUE] Jojo Rabbit, de Taika Waititi
Jeu de satire mignon et savoureux, Jojo Rabbit est porté par une douce irrévérence tragi-comique qui anime un récit chargé par une mémoire historique bien réelle. Taika Waititi revisite la jeunesse nazie à travers une fable haute en couleurs, suivant les déboires d'un jeune garçon à l'aube de ses premiers émois. Si le film fait sourire autant qu'il bouleverse, j'attendais néanmoins un objet bien plus piquant et anti-conformiste. Jojo Rabbit se planque un dans un enrobage un poil trop sage, comme si Taika Waititi avait muselé son film pour en faire une œuvre passe-partout, comme un petit bonbon tendre appréciable unanimement. Ceci étant dit, le casting et surtout Roman Griffin Davis, est absolument génial.
[CRITIQUE] John Wick Parabellum, de Chad Stahelski
John Wick est de retour et cette fois, le temps lui est compté. Chad Stahelski propose un nouvel opus qui continue d'explorer son univers à coups de poings, de pieds, de couteaux, de feu... et plus encore, dans un épisode survolté et enthousiasmant, animé par une cinématique de jeux vidéos et des scènes de combats aussi puissantes que stylées, ce qui rend l'ensemble toujours plus immersif. John Wick Parabellum n'est plus seulement un péché mignon mais s'inscrit comme un incontournable pour tout amateur de cinéma d'action, tandis que Keanu Reeves reste toujours au top dans ce rôle peu bavard, certes, mais conquérant. En bref, on aime et on en redemande !
[CRITIQUE] Ocean’s 8, de Gary Ross
Après Steven Soderbergh, c'est Gary Ross qui propose la relève de la saga Ocean. À peine rehaussé par un casting (et des caméos) alléchant, Ocean's 8 propose un spin-off féminisé à outrance, baignant dans le luxe, la mode et les bijoux pour bien souligner le changement de sexe de ses personnages, et manque surtout d'originalité de d'imagination. Déjà vu, prévisible et surtout caricatural, Gary Ross aura beau changer les joueurs, il semblerait que l'ère des films de braquages est bel et bien révolue.
[CRITIQUE] Ce Qui Nous Lie, de Cédric Klapisch
Le pitch : Jean a quitté sa famille et sa Bourgogne natale il y a dix ans pour faire le tour du monde. En apprenant la mort imminente de son père, il revient dans la terre de son enfance. Il retrouve sa sœur, Juliette, et son frère, Jérémie. Leur père meurt juste avant le début des vendanges. En l’espace d’un an, au rythme des saisons qui s’enchaînent, ces 3 jeunes adultes vont retrouver ou réinventer leur fraternité, s’épanouissant et mûrissant en même temps que le vin qu’ils fabriquent.
[COUP DE CŒUR] Wonder Woman, de Patty Jenkins
Très attendue, la première adaptation cinématographie que Wonder Woman débarque enfin, porteuse de nombreux enjeux et espoirs. Autant dire que le film de Patty Jenkins est une superbe réussite tant le film parvient à allier le coté spectaculaire du genre super-héroïque tout en le conjuguant au féminin, sans rendre son personnage principale cruche ou fragile. Patty Jenkins livre une origin story solide, qui n'a rien à envier à Batman ou autre Superman : badass, boosté par de l'action à couper le souffle et une photographie ambitieuse. Wonder Woman est-il le meilleur film du DC Extended Universe ? C'est très probable !
