Après un premier opus fleurant bon la romcom adolescente, Tamara Vol. 2 s'aventure vers le passage à l'âge adulte et confirme l'essai avec une comédie hilarante, aussi légère, actuelle et tout aussi agréablement naïve. Alexandre Castagnetti parvient à faire évoluer ses personnages à travers un récit survolté, entre soif de reconnaissance sociale et nouveaux décors, tout en gardant la romance au centre. Tamara Vol. 2 est assumé, ne cherche pas à se prendre au sérieux et c'est ce qui en fait un véritable plaisir non-coupable à dévorer sans complexe cet été !
Étiquette : lycée
[CRITIQUE] The Kissing Booth, de Vince Marcello (Netflix)
Ella Evans et Lee Flynn sont amis depuis leur naissance. Les adolescents sont nés exactement le même jour, à la même heure. Ils ont grandi ensemble, vécu la mort de la maman d'Ella la main dans la main, fait les mêmes bêtises et toujours fait front. Le tout dans l'ombre de Noah, le grand frère populaire de Lee, dont Ella a le béguin depuis leur tendre enfance. Seulement voilà, il y a des règles entre Ella et Lee. Et l'une d'elles est de ne jamais tomber amoureux d'un membre de la famille de l'autre. Alors quand lors d'un jeu, Noah donne à la jeune lycéenne son premier baiser, des sentiments nouveaux naissent entre les deux jeunes gens, l'amitié de Lee et Ella est menacée... Réalisé par Vince Marcello Avec Joey King, Joel Courtney, Jacob Elordi... Disponible sur Netflix
[SÉRIE TV] The Vampire Diaries : Retour sur une déception d’ado (que j’assume farpaitement)
Quatre mois après le tragique accident de voiture qui a tué leurs parents, Elena Gilbert, 17 ans, et son frère Jeremy, 15 ans, essaient encore de s'adapter à cette nouvelle réalité. Belle et populaire, l'adolescente poursuit ses études au Mystic Falls High en s'efforçant de masquer son chagrin. Elena est immédiatement fascinée par Stefan et Damon Salvatore, deux frères que tout oppose. Elle ne tarde pas à découvrir qu'ils sont en fait des vampires... Créée par Julie Plec et Kevin Williamson Avec Paul Wesley, Ian Somerhalder, Nina Dobrev, Candice King… Série terminée.
[CRITIQUE] My Friend Dahmer, de Marc Meyers
My Friend Dahmer est la plongée glaçante dans la jeunesse d'un futur tueur en série, vue par un de ses camarades de lycée. Le décalage entre la normalité fougueuse de l'adolescence et le tempérament particulier du personnage principal crée un ensemble insaisissable, entre tension et appréhension, comme si Marc Meyers dégoupillait une dangereuse grenade millimètre par millimètre. Cependant, en se focalisant sur la période avant les premiers meurtres, My Friend Dahmer s'avère un poil frustrant tant le portrait du jeune homme, aussi "bizarre" qu'il puisse être, reste néanmoins superficiel, puisque le film ne propose que la facette plus ou moins publique de l'adolescent vue par un tiers, et non une approche plus ou moins intime de sa psychologie. Fascinant, mais trop peu.
[COMIC CON 2016] Le panel Marvel en vidéo : Doctor Strange, Spider-Man, Thor, Black Panther, Les Gardiens de la Galaxie et… Captain Marvel
Cette nuit, de 2h30 à environ 4 heures du matin (en France), les Studios Marvel ont enflammé le Hall H. Si la plupart des images sont indisponibles sur le net (bien qu'apparemment elles soient toutes démentes), voici ce qu'il faut retenir de ce long panel ultra prometteur...
[CRITIQUE] The Circle – Chapitre 1 : Les Elues, de Levan Akin (Direct to DVD)
Une nuit de pleine lune, six jeunes lycéennes se retrouvent mystérieusement attirées par une force surnaturelle dans la forêt. Une prophétie leur est alors révélée : elles sont les Élues, un groupe de sorcières, liées les unes aux autres par un pouvoir capable de repousser le Mal. Ensemble, elles vont devoir maîtriser cette étrange force et lutter contre la malédiction qui s’est abattue sur leur lycée. Désormais, rester unies est leur seule chance de survie ! Disponible en Blu-Ray, DVD et VOD dès le 23 avril 2016 Réalisé par Levan Akin Avec Josefin Asplund, Helena Engström, Miranda Frydman
[CRITIQUE] Gallows, de Travis Cluff et Chris Lofing
Inutile de tourner autour du pot, Gallows est très mauvais. Pâle excuse pour film d'épouvante, le film de Travis Cluff et Chris Lofing compile tous les défauts des soi-disants films d'horreur de ces dernières années pour nous les jeter à la tronche avec une désinvolture irritante, à travers un found-footage flemmard. Si vous aimez sursauter, Gallows vend du jumpscare au rabais, accompagné par un mixage sonore des plus hasardeux, au lieu d'essayer d'installer un soupçon d'intrigue. Pour couronner le tout et festoyer allègrement dans la médiocrité, il faut aussi supporter des gamins à claquer qui bavassent non stop et une caméra visiblement tenue par un amateur. Et dire qu'ils s'y sont mis à deux pour réaliser un truc pareil...
[CRITIQUE] Nos Futurs, de Rémi Bezançon
Sympathique mais maladroit, Nos Futurs est une comédie pétrie de bonnes intentions avec un twist final bien trouvé. Cependant, les retrouvailles et le road trip festif entre potes ne parviennent pas à camoufler l'impression de déjà-vu qui flotte autour du film de Rémi Bezançon, ni à faire oublier le manque de fluidité du scénario et de ses dialogues. Si l'envie de prendre la route avec Pio Marmai et Pierre Rochefort est présente, le manque de complicité et de naturel du duo nuit à sa crédibilité, faisant de Nos Futurs un film plutôt long au rythme trop plat.
[CONCOURS] Nos Futurs : Gagnez des places pour aller voir le film
À l’occasion de la sortie du film Nos Futurs de Rémi Bezançon (Gaumont Distribution), le 22 juillet 2015, tentez votre chance pour gagner des lots de 2 places de cinéma (5×2) pour aller voir le film près de chez vous ! Pour participer, rien de plus simple...
[CRITIQUE] Un Voisin Trop Parfait, de Rob Cohen
Prévisible, ahurissant de bêtise et cousu avec des ficelles grosses comme des poutres, Un Voisin Trop Parfait combine le fantasme de la MILF avec un thriller pseudo-érotique transparent et criblé de prétextes fallacieux pour qu'il puisse fonctionner. Entre une Jennifer Lopez qui croit toujours à sa carrière d'actrice et une production qui compte chaque dollar, le film de Rob Cohen devient un ensemble navrant et benêt que l'on suit jusqu'au bout uniquement pour voir le film se fracasser lamentablement en bout de course...
Les Héritiers : Comme un air de déjà-vu (Écrire Pour Exister à la française ?)
Rares sont les films qui réussissent à dresser un portrait sur des jeunes de banlieue sans servir des clichés agaçants, tout en alliant une histoire convaincante et émouvante. Les Héritiers réussit presque à relever le défi haut la main, malgré une première partie un peu bancale. Le problème ? C'est simple : Richard LaGravenese a fait exactement le même film (à quelques détails près) il y a quelques années, Écrire Pour Exister. Ça et le fait que Marie-Castille Mention-Schaar puise dans les bons sentiments larmoyants pour toucher son public alors que son film est déjà bien chargé émotionnellement. Dommage.
