L'étudiant Oliver Quick, qui peine à trouver sa place à l'université d'Oxford, se retrouve entraîné dans le monde du charmant et aristocratique Felix Catton, qui l'invite à Saltburn, le vaste domaine de sa famille excentrique, pour un été qu'il n'oubliera pas de sitôt.
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[COUP DE CŒUR] The Father, de Florian Zeller
The Father raconte la trajectoire intérieure d’un homme de 81 ans, Anthony, dont la réalité se brise peu à peu sous nos yeux. Mais c’est aussi l’histoire d’Anne, sa fille, qui tente de l’accompagner dans un labyrinthe de questions sans réponses.
[VIDÉO] 13 Reasons Why : Découvrez la bande-annonce de la saison 4 (+ récap et spoilers)
Alors que les terminales de Liberty High s'apprêtent à recevoir leur diplôme, ils vont devoir prendre des décisions si déchirantes qu'elles pourraient affecter le reste de leur vie. Créée par Brian Yorkey Avec Dylan Minnette, Christian navaro, Alisha Boe, Katherine Langford... Disponible sur Netflix à partir du 5 juin 2020
[CRITIQUE] Gueule d’Ange, de Vanessa Filho
Une jeune femme vit seule avec sa fille de huit ans. Une nuit, après une rencontre en boîte de nuit, la mère décide de partir, laissant son enfant livrée à elle-même.
[CRITIQUE] Ce Qui Nous Lie, de Cédric Klapisch
Le pitch : Jean a quitté sa famille et sa Bourgogne natale il y a dix ans pour faire le tour du monde. En apprenant la mort imminente de son père, il revient dans la terre de son enfance. Il retrouve sa sœur, Juliette, et son frère, Jérémie. Leur père meurt juste avant le début des vendanges. En l’espace d’un an, au rythme des saisons qui s’enchaînent, ces 3 jeunes adultes vont retrouver ou réinventer leur fraternité, s’épanouissant et mûrissant en même temps que le vin qu’ils fabriquent.
[SÉRIE TV] 13 Reasons Why : Nécessaire, brillante et juste mais dangereuse
Inspirée des best-sellers de Jay Asher, 13 Reasons Why suit Clay Jensen, un adolescent qui découvre sous son porche au retour du lycée une mystérieuse boîte portant son nom. À l'intérieur, des cassettes enregistrées par Hannah Baker, une camarade de classe qui s'est tragiquement suicidée deux semaines auparavant. Les enregistrements révèlent que la jeune fille, dont il était amoureux, a décidé de mettre fin à ses jours pour treize raisons. Clay est-il l'une de ces raisons ? Créée par Brian Yorkey Avec Dylan Minnette, Katherine Langford, Christian Navarro… Disponible sur Netflix
[CRITIQUE] American Honey, d’Andrea Arnold
Solaire, insolent et marginal, Andrea Arnold transforme un road-trip improvisé en une observation à cœur ouvert d'une jeunesse insouciante et parfois indécente, entre amours perturbées et absences de repères. Habité par des personnages à vif, American Honey livre une histoire sans fioriture et porté par une sincérité criarde, parfois dérangeante mais profondément marquée par la férocité de ses émotions, entre envie de liberté et fuite en avant. Un peu long, certes, mais étonnamment lumineux, abouti et captivant.
[CRITIQUE] Corniche Kennedy, de Dominique Cabrera
Maladroit mais sympathique, le nouveau film de Dominique Cabrera surfe sur les clichés pour illustrer le quotidien désœuvré d'une bande de jeunes Marseillais, oscillant entre la quête du frisson pour exister et l'absence de repère. Entre rêve de liberté et illégalité, Corniche Kennedy livre une histoire assez convenue, mais facile à suivre, à la réalisation assez abrupte et linéaire, proche du téléfilm. Toujours juste rattrapé par une ambition solaire, le film essuie de nombreux défauts qui gâchent son potentiel.
[CRITIQUE] Everest, de Baltasar Kormákur
Le désavantage lorsqu'on propose l'adaptation d'une histoire vraie mettant en scène une telle aventure humaine, c'est le risque béant de proposer un film au scénario prévisible. Everest ne déroge pas à cette règle et livre une histoire peu novatrice et attendue, où les ficelles sont bien trop visibles pour susciter de l'émotion authentique. Résultat, si les plus sensibles seront touchés, voire émerveillés par le courage teinté de folie de ces hommes et femmes qui s'attaquent à l'Everest, les autres devront se contenter des plans magnifiques et intenses qui composent le film pour espérer un petit frisson. Dommage car le film de Baltasar Kormákur avait tous les atouts pour devenir un film grandiose.
