Tops & Flops

Ces franchises instables mais bankables #2 : Fast and Furious et la surenchère WTF mais efficace

Elles sont souvent cultes, nées dans les années 80 ou 90 – à quelques exceptions près – et depuis tout ce temps, elles ont survécu en livrant plus ou moins régulièrement de nouveaux films. De remake en reboot, en passant par des préquels, des suites ou encore, plus fourbes, le remoot, certaines franchises cultes ont vu leurs storylines chamboulées au fil des années. Retour sur le parcours de la franchise Fast and Furious qui compte 9 films (and counting) et un spin-off.

Drame

[CRITIQUE] Adoration, de Fabrice du Welz

Parenthèse réchauffée par un été sur le déclin, Adoration suit la fuite amoureuse de deux adolescents, entre dérive et fascination. Fabrice du Welz livre un drame à la fois solaire et trouble, captant l'impulsivité et la liberté significative d'un âge où tout est possible et en même temps trop réel. Adoration est une échappée belle et impossible, qui semble vouloir renouer avec la pureté et l'innocence des sentiments amoureux, même les plus instables.

Sci-fi, Thriller

[CRITIQUE] Captive State, de Rupert Wyatt

Les extraterrestres ont envahi la Terre. Occupée, la ville de Chicago se divise entre les collaborateurs qui ont juré allégeance à l'envahisseur et les rebelles qui les combattent dans la clandestinité depuis dix ans.

Biopic, Drame

[CRITIQUE] First Man – Le Premier Homme Sur La Lune, de Damien Chazelle

Pilote jugé « un peu distrait » par ses supérieurs en 1961, Neil Armstrong sera, le 21 juillet 1969, le premier homme à marcher sur la lune. Durant huit ans, il subit un entraînement de plus en plus difficile, assumant courageusement tous les risques d’un voyage vers l’inconnu total. Meurtri par des épreuves personnelles qui laissent des traces indélébiles, Armstrong tente d’être un mari aimant auprès d’une femme qui l’avait épousé en espérant une vie normale.

Drame

[CRITIQUE] Gueule d’Ange, de Vanessa Filho

Une jeune femme vit seule avec sa fille de huit ans. Une nuit, après une rencontre en boîte de nuit, la mère décide de partir, laissant son enfant livrée à elle-même.

Épouvante-horreur

Rec 4 – Apocalypse : Tout juste divertissant mais très décevant

Dans la catégorie des suites que personne n'attendait vraiment, je demande Rec 4 - Apocalypse. Le quatrième et dernier volet de la saga a certes gardé une ambiance noire et hystérique, malheureusement, le coté bricolé à la va-vite du scénario et un trouillomètre inexistant font du dernier film de Jaume Balagueró, seul cette fois, un ensemble chaotique et décevant. À ce stade et pour un tel réalisateur, le naufrage de Rec 4 - Apocalypse fait souvent mal aux yeux, tandis qu'à l'image on ne fait plus la différence entre le gore et les effets simplement dégoûtants. Après avoir vu le film, il est évident que le terme "Apocalypse" rajouté au titre n'est là que pour appâter le chaland. Apocalypse = 0 ; catastrophe : Rec 4.

Action, Super héros

Ninja Turtles : Tout juste divertissant, mais trop ciblé (ado)

Coloré mais bancal, Ninja Turtles débarque en trombe sur les écrans français, après avoir caracolé en tête du box-office US cet été. L'adaptation du célèbre dessin animé Tortues Ninja, produite par Michael Bay et réalisée par Jonathan Liebesman se révèle suffisamment divertissant pour tenir éveiller mais souffre de nombreux défauts qui auraient pu être corriger avec un peu plus de maîtrise. Entre les scènes d'action illisibles et l'humour qui fait souvent un flop, Ninja Turtles a beau être traversé par une énergie communicative, le résultat est trop adolescent et ficelé à la hâte... Les Tortues Ninja méritaient mieux.