WandaVision combine des éléments de sitcom traditionnelle à ceux de l’Univers Cinématographique Marvel. Elizabeth Olsen (Wanda Maximoff – alias Scarlet Witch) et Paul Bettany (Vision) y reprennent leurs rôles de super-héros, vivant dans une banlieue idéalisée mais commençant à soupçonner que tout n’est peut-être pas ce qu’il paraît être… Créée par Jac Schaeffer Avec Elizabeth Olsen, Paul Bettany, Teyonah Parris, Kat Dennings, Randall Park, Kathryn Hahn… Disponible sur Disney+
Étiquette : souffrance
[CRITIQUE] Saint Maud, de Rose Glass
Maud, infirmière à domicile, s’installe chez Amanda, une célèbre danseuse fragilisée par la maladie qui la maintient cloîtrée dans son immense maison. Amanda est d’abord intriguée par cette étrange jeune femme très croyante, qui la distrait. Maud, elle, est fascinée par sa patiente. Mais les apparences sont trompeuses. Maud, tourmentée par un terrible secret et par les messages qu’elle pense recevoir directement de Dieu, se persuade qu’elle doit accomplir une mission : sauver l’âme d’Amanda. Réalisé par Rose Glass Avec Morfydd Clark, Jennifer Ehle, Lily Knight...
[CRITIQUE] Suspiria, de Luca Guadagnino
Susie Bannion, jeune danseuse américaine, débarque à Berlin dans l'espoir d'intégrer la célèbre compagnie de danse Helena Markos. Madame Blanc, sa chorégraphe, impressionnée par son talent, promeut Susie danseuse étoile. Tandis que les répétitions du ballet final s’intensifient, les deux femmes deviennent de plus en plus proches. C’est alors que Susie commence à faire de terrifiantes découvertes sur la compagnie et celles qui la dirigent…
[CRITIQUE] Girl, de Lukas Dhont
Lara, 15 ans, rêve de devenir danseuse étoile. Avec le soutien de son père, elle se lance à corps perdu dans cette quête d’absolu. Mais ce corps ne se plie pas si facilement à la discipline que lui impose Lara, car celle-ci est née garçon.
[COUP DE CŒUR] Katie Says Goodbye, de Wayne Roberts
Tranche de vie solaire et poignante, Katie Says Goodbye est d'une beauté bouleversante, entre naïveté et espoirs mis à mal, à travers le parcours d'une jeune femme à l'optimisme aveugle qui se confronte brutalement à une réalité brutale et injuste. Le film de Wayne Roberts touche en plein cœur, par sa sincérité qui évite brillamment le pathos pour offrir de belles émotions, et par son ambiance ensoleillée qui dessine une Amérique loin des cartes postales et douloureusement humaine. La révélation du film c'est surtout Olivia Cooke, qui livre une performance superbe, donnant à son personnage une douceur inattendue et incroyablement attachante.
[CRITIQUE] Hostiles, de Scott Cooper
Pour son nouveau film, Scott Cooper livre un western implacable qui explore avec gravité les recoins sombres de la nature humaine sur fond de guerre, de pertes et de remords. Malgré ses longueurs déstabilisantes, Hostiles est porté par une tension brute, violente et captivante, à travers des paysages sauvages magnifiques et des silences lourds de sens. Déroutant, sombre et entêtant.
[RATTRAPAGE 2017] Dalida, de Lisa Azuelos
De sa naissance au Caire en 1933 à son premier Olympia en 1956, de son mariage avec Lucien Morisse, patron de la jeune radio Europe n°1, aux soirées disco, de ses voyages initiatiques en Inde au succès mondial de Gigi l’Amoroso en 1974, le film Dalida est le portrait intime d’une femme absolue, complexe et solaire... Une femme moderne à une époque qui l’était moins ... Malgré son suicide en 1987, Dalida continue de rayonner de sa présence éternelle.
[COUP DE CŒUR] La Danseuse, de Stéphanie Di Giusto
D’une beauté époustouflante et poétique où l’art suscite l’émotion, La Danseuse bouleverse, de son récit fascinant à la sensibilité fragile jusqu’à ses scènes de danse puissantes et une photographie superbe. Pour son premier film, Stéphanie Di Giusto livre une expérience visuelle immersive qui l’emporte sur ses écarts narratifs parfois boiteux. Heureusement, le face-à-face entre Soko,… Lire la suite [COUP DE CŒUR] La Danseuse, de Stéphanie Di Giusto
