Maren part à la recherche de sa mère et rencontre Lee, un adolescent à la dérive qui va l’embarquer dans un road trip enflammé sur les routes de l’Amérique profonde. Leur amour naissant sera-t-il suffisamment fort pour résister à leurs démons, leur passé et le regard d’une société qui les considère comme des monstres ?
Étiquette : banal
[CRITIQUE] Nobody, d’Ilya Naishuller
Hutch Mansell est un homme apparemment banal et un père de famille sans histoires, mais il accumule tout un tas de frustrations et ne se sent pas assez considéré par les siens. Une nuit, des cambrioleurs s'introduisent à son domicile. Plutôt que de s'interposer, Hutch décide de ne pas intervenir. Cette décision lâche l'éloigne définitivement de son fils Blake et de sa femme Becca. Mais le cambriolage va aussi réveiller des instincts primaires et des compétences violentes qu'il croyait avoir oubliés. Il va alors se lancer dans une quête sanglante de vengeance pour s’assurer que plus personne ne le traite comme un moins que rien.
6 séries pour célébrer la Journée Internationale des Droits des Femmes
Cette année pour célébrer la journée internationale des droits des femmes, je vous propose six séries qui mettent en avant des... femmes (je sais, le suspens était intense) ! Sans forcément être des super-héroïnes ou des femmes d'actions, ces femmes de séries dressent des portraits à la fois complexes et actuels, auxquels on s'attache et dans lesquels on peut se reconnaître. Que l'on parle d'inégalité sociale, de romance, de monstres en tout genre ou du quotidien plus ou moins banale, ces séries ont quelques choses à dire sans forcément avoir besoin de brandir un quelconque étendard féministe pour se justifier. Car oui, être une femme, c'est aussi bien savoir se faire entendre qu'apprendre à s'écouter soi-même pour s'affirmer, c'est pour ça que j'ai choisi des séries qui, d'abord, m'ont plu, et qui se démarquent avec des héroïnes du quotidien, qui nous ressemblent ou sont tous simplement accessibles, sans super-pouvoirs (à une petite exception près) ni grand combat à mener autre que celui de s'affirmer. I am woman, here me roar...
[CRITIQUE] Je Voudrais Que Quelqu’un M’attende Quelque Part, d’Arnaud Viard (sortie DVD et VOD)
Dans la belle maison familiale, à la fin de l’été, Aurore fête ses 70 ans, entourée de ses 4 enfants, tous venus pour l’occasion. Il y a là Jean-Pierre, l’aîné, qui a endossé le rôle de chef de famille après la mort de son père ; Juliette, enceinte de son premier enfant à 40 ans et qui rêve encore de devenir écrivain ; Margaux, l’artiste radicale de la famille, et Mathieu, 30 ans, angoissé de séduire la jolie Sarah. Plus tard, un jour, l’un d’eux va prendre une décision qui changera leur vie… Réalisé par Arnaud Viard Avec Jean-Paul Rouve, Alice Taglioni, Benjamin Lavernhe, Camille Rowe Disponible en DVD et VOD le 27 mai 2020 Bonus : Scènes coupées
[CRITIQUE] Le Grand Bain, de Gilles Lellouche
C’est dans les couloirs de leur piscine municipale que Bertrand, Marcus, Simon, Laurent, Thierry et les autres s’entraînent sous l’autorité toute relative de Delphine, ancienne gloire des bassins. Ensemble, ils se sentent libres et utiles. Ils vont mettre toute leur énergie dans une discipline jusque-là propriété de la gent féminine : la natation synchronisée. Alors, oui c’est une idée plutôt bizarre, mais ce défi leur permettra de trouver un sens à leur vie...
[CRITIQUE] Red Sparrow, de Francis Lawrence
Une jeune ballerine, dont la carrière est brisée nette après une chute, est recrutée contre sa volonté par les services secrets russes. Entraînée à utiliser ses charmes et son corps comme des armes, elle découvre l’ampleur de son nouveau pouvoir et devient rapidement l’un de leurs meilleurs agents. Sa première cible est un agent infiltré de la CIA en Russie. Entre manipulation et séduction, un jeu dangereux s’installe entre eux.
[CRITIQUE] Oh Lucy!, d’Atsuko Hirayanagi
Conte désenchanté autour de la solitude et du manque d'amour, Oh Lucy! démêle dépression et sentiments dans un drame curieusement cocasse et bouleversant à la fois. Atsuko Hirayanagi propose une héroïne coincée entre la mère accomplie et la jeune femme épanouie, accusant aussi bien le poids de l'âge que les conséquences de ses choix (ou défaites) passés, dans un voyage plein de désillusions et autres réalisations douloureuses. Touchant, drôle et particulier, Oh Lucy! offre un visage loin du Japon kawaii des mangas ou de la culture pop, pour en dévoiler une facette déconcertante mais finalement plus humaine.
[CRITIQUE] Asphalte, de Samuel Benchetrit
Particulier et étrange, Asphalte semble aussi dépouillé que les portraits qu'il présente. De ces tranches de vie décalées, Samuel Benchetrit cadre un quotidien brut et isolé, dans un décor qui emprisonne les émotions jusqu'à confondre le rêve et la réalité. Improbable, mais étrangement satisfaisant, Asphalte se distingue à travers ses duos surprenants auxquels on s'attache presque malgré eux.
[CRITIQUE] Comme Un Avion, de Bruno Podalydès
Léger et agréable, Comme Un Avion est une parenthèse bucolique et sympathique, sur l'art oublié de se laisser porter par le courant (littéralement). Autour d'un personnage balbutiant, le film de Bruno Podalydès ne paie pas de mine et est parfois un peu gauche, mais le coté pétillant de ses personnages décalés et le ton estival de Comme Un Avion crée un ensemble envoûtant et amusant. Un bon moment.
