Le jeune Garraty va concourir pour " La Longue Marche ", une compétition qui compte cent participants. Cet événement sera retransmis à la télévision, suivi par des milliers de personnes. Mais ce n’est pas une marche comme les autres, plutôt un jeu sans foi ni loi…
Étiquette : fatalité
Ces franchises instables mais bankables #4 : Destination Finale, la Mort s’amuse et un trauma générationnel
Elles sont souvent cultes, nées dans les années 80 ou 90 ou 2000 – à quelques exceptions près – et depuis tout ce temps, elles ont survécu en livrant plus ou moins régulièrement de nouveaux films. De remake en reboot, en passant par des prequels, des suites ou encore, plus fourbes, le remoot, certaines franchises cultes ont vu leurs storylines chamboulées au fil des années. D’autres ont misés sur la surenchère pour perdurer. Retour sur le parcours de la franchise Destination Finale qui accueille cette année un sixième film !
[CRITIQUE] Verónica, de Paco Plaza
Savoureusement estampillé "seul cas d'activité paranormale officiellement reconnu par la police espagnole", Verónica propose de déjouer les codes de l'horreur à travers un traitement plus axé sur l'aspect social et dramatique du film, quitte à mettre l'aspect horrifique au second plan. Associé à la saga [REC], Paco Plaza tente de prouver qu'il peut faire autre chose que du found-footage, à travers des effets de styles référencés, parfois même incongrus mais qui ont finalement le mérite de se démarquer d'un ensemble un peu mou. Original, mais pas suffisant pour coller la frousse.
[CRITIQUE] 120 Battements Par Minute, de Robin Campillo
Brut et douloureusement vivant, le nouveau film de Robin Campillo frappe juste et fort. Là où d'autres auraient opté pour un enrobage sucré à l'américaine, 120 Battements Par Minute choisit et dénonce un sujet qui dérange, avec un recul pragmatique qui évite les facilités du mélodrame pour narrer une vérité qui tâche. Prônant la vie et l'amour comme éternel rempart face à la mort, Robin Campillo parvient à jongler des émotions fortes contrastée par une indifférence indignée, en narrant un combat toujours d'actualité et pourtant trop silencieux. 120 Battements par Minute ébranle et fait partie de ces films qui ne sont pas là pour être aimés, mais pour faire réagir. Pari réussi.
[CRITIQUE] Sing Street, de John Carney
Frais et ambitieux, Sing Street s’inscrit comme le feel good chaleureux qui illuminera cet automne. John Carney nous invite dans l’Irlande des années 80 avec bande-originale old school inspirée par la révolution pop/rock et traversée par une écriture enlevée mettant en scène des ados et ces histoires d’amour et d’amitié qui forgent le caractère. Un bon moment à découvrir d’urgence, sans modération et en musique !
Paradise Lost : Un piège haletant, malgré une mise en scène abrupte
Tendu, sombre et haletant, Paradise Lost nous plonge dans l'univers haletant de Pablo Escobar. Pour son premier film, Andrea Di Stefano choisit de s'inspirer du plus légendaires des trafiquants de drogue pour dessiner un drame palpitant, mêlant une romance maudite et une confrontation de tous les instants entre le bien et le mal. Si Paradise Lost parvient à aller jusqu'au bout de ses idées et s'offre une performance superbe de Benicio Del Toro, la mise en scène maladroite et peu maîtrisée d'Andrea Di Stefano rend l'entrée en matière difficile tandis que le montage abrupt du film dérange. Une réussite mitigée, donc...
