La maladie grave d'une fillette, Rose, se répercute sur les vies des autres membres de sa famille. Ce faisant, elle révèle les forces et faiblesses de chacun. Créée par Camille de Castelnau Avec Virginie Efira, Nicole Garcia, Sara Giraudeau, Bernard Le Coq, Aliocha Schneider, Mehdi Nebbou, Angèle Miele… Disponible sur Disney+ dès le 15 novembre 2023 (avec contrôle parental)
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[SPOILERS] The Marvels : Retour sur le film
ATTENTION, CE QUI VA SUIVRE N’EST RÉSERVÉ QU’À CEUX QUI ONT VU LE FILM. Abandonnez la lecture de cet article tant qu’il en est encore temps. Surtout si vous êtes fan de… Non ! Vous en avez trop lu, partez. Pour ma critique sans spoiler du film, c’est par ici. Pour ceux qui ont déjà vu le film… on est bien, là non ?
[CRITIQUE] The Marvels, de Nia DaCosta (sans spoilers)
En pleine « super-héros fatigue », les studios Marvel continue de dérouler leur Phase 5, certes avec un poil moins de panache qu’auparavant. Réalisé par Nia DaCosta, The Marvels propose une aventure sympathique et parvient à trouver un équilibre palpitant entre l'humour, la dynamique familiale et des scènes d'action spectaculaires, ravivant les éléments essentiels du MCU. Bien qu’un brin hâtif et toujours prompt à survoler ses quelques ressorts dramatiques, le film se révèle plutôt efficace, même si on est loin de retrouver l’excitation de l’Infinity saga.
[SÉRIE TV] Moon Knight : 3 bonnes raisons de découvrir la nouvelle série Marvel
Employé discret dans une boutique de souvenirs, Steven Grant est soudain victime de pertes de mémoire et est hanté par des visions d’une autre vie. Il découvre qu’il souffre d’un trouble dissociatif de l’identité et qu’il partage le même corps qu’un mercenaire, Marc Spector. Alors que l’étau se resserre sur Steven / Marc, les deux hommes, plongés dans une aventure périlleuse parmi les puissants dieux d’Égypte, vont devoir trouver leur équilibre dans cette double identité. Créée par Jeremy Slater Avec Oscar Isaac, May Calamawy, Ethan Hawke… Disponible sur Disney+ dès le 30 mars 2022
[CRITIQUE] L’Origine du Monde, de Laurent Lafitte
Jean-Louis réalise en rentrant chez lui que son cœur s'est arrêté. Plus un seul battement dans sa poitrine, aucun pouls, rien. Pourtant, il est conscient, il parle, se déplace. Est-il encore vivant ? Est-il déjà mort ? Ni son ami vétérinaire Michel, ni sa femme Valérie ne trouvent d'explication à cet étrange phénomène. Alors que Jean-Louis panique, Valérie se tourne vers Margaux, sa coach de vie, un peu gourou, pas tout à fait marabout, mais très connectée aux forces occultes. Et elle a une solution qui va mettre Jean-Louis face au tabou ultime...
[CRITIQUE] Nobody, d’Ilya Naishuller
Hutch Mansell est un homme apparemment banal et un père de famille sans histoires, mais il accumule tout un tas de frustrations et ne se sent pas assez considéré par les siens. Une nuit, des cambrioleurs s'introduisent à son domicile. Plutôt que de s'interposer, Hutch décide de ne pas intervenir. Cette décision lâche l'éloigne définitivement de son fils Blake et de sa femme Becca. Mais le cambriolage va aussi réveiller des instincts primaires et des compétences violentes qu'il croyait avoir oubliés. Il va alors se lancer dans une quête sanglante de vengeance pour s’assurer que plus personne ne le traite comme un moins que rien.
[CRITIQUE] Un Homme en Colère, de Guy Ritchie
Un convoyeur de fond fraichement engagé surprend ses collègues par l’incroyable précision de ses tirs de riposte alors qu’ils subissent les assauts de braqueurs expérimentés. Tous se demandent désormais qui il est, d’où il vient et pourquoi il est là.
[CRITIQUE] Miss, de Ruben Alves
Alex, petit garçon gracieux de 9 ans qui navigue joyeusement entre les genres, a un rêve : être un jour élu Miss France. 15 ans plus tard, Alex a perdu ses parents et sa confiance en lui et stagne dans une vie monotone. Une rencontre imprévue va réveiller ce rêve oublié. Alex décide alors de concourir à Miss France en cachant son identité de garçon. Beauté, excellence, camaraderie... Au gré des étapes d’un concours sans merci, aidé par une famille de cœur haute en couleurs, Alex va partir à la conquête du titre, de sa féminité et surtout, de lui-même...
Interdit de spoiler : Les films à twist(s) à voir absolument
À l'occasion de la sortie du film À Couteaux Tirés de Rian Johnson qui offre un thriller palpitant, intelligent et noueux jusqu'à la dernière minute, je me suis dit qu'il était temps que je fasse un petit point sur les films à twist qui m'ont marquée. Mais pas n'importe lesquels : ceux dont le spoil devrait être passible de la peine de mort (ou autre conséquence un peu moins fatale, maybe). Soyons clairs : raconter la fin de Avengers Endgame ou de La Reine des Neiges 2 est énervant, bien sûr, mais si l'effet de surprise est ruiné, cela n'empêche pas vraiment de prendre du plaisir devant le film. Alors que pour les films que je vais évoquer ici, spoiler la fin ou le twist clé revient à ruiner toute l'expérience autour du film, gâchant ainsi tout son intérêt. Et ça, messieurs et dames, ce devrait être criminel.
[CRITIQUE] Ma, de Tate Taylor
La formidable Octavia Spencer s'essaye à un nouveau genre avec Ma, un thriller d'épouvante adolescent qui, à première vue, est plutôt prenant et accrocheur. Le film de Tate Taylor s'illustre plus par sa surexposition narrative et cherche difficilement à faire grimper une tension desservie par des révélations qui arrivent trop tôt. Heureusement, la personnalité troublante de Ma galvanise le récit et tient en haleine, mais cela ne suffit pas à sauver l'ensemble qui s'avère finalement très juste.
[CRITIQUE] Glass, de M. Night Shyamalan
Dès Split, M. Night Shyamalan avait initié un lien vers Incassable, un de ses premiers succès en 2000. Si la surprise avait ravi les fans du premier film, Glass restait assez flou quant à la tournure qu’allait prendre les événements. À l’arrivée, M. Night Shyamalan déçoit en renouant avec ses vieux travers : installations laborieuses, trame nébuleuse et mystification inutile, Glass passe non seulement à côté du potentiel de ses trois personnages phares mais également à côté d'un point de vue original en prenant la mode super-héroïque à contre-sens. L'ensemble vire rapidement au sens intérêt et le fait de teaser un opération plus vaste pour appâter le chaland et vendre un prochain film rend Glass encore plus vain. Dommage.
[CRITIQUE] Premières Vacances, de Patrick Cassir
Agréable et sucré, Premières Vacances exorcise l'une des premières "épreuves" du couples à travers une comédie légère. D'une rencontre Tinder à une escapade pleine d'aventures, le film de Patrick Cassir tisse une romance en accéléré, portée par un duo qui fonctionne à merveille.
