Un ninja aveugle. Une détective impertinente. Un ancien détenu résistant aux balles. Un milliardaire amateur de kung-fu. "Marvel’s The Defenders" suit les aventures de quatre super-héros solitaires contraints de mettre leurs problèmes personnels de côté pour combattre ensemble un groupe de criminels menaçant de détruire la ville de New York. Disponible sur Netflix depuis le 18 août 2017 Avec Charlie Cox, Krysten Ritter, Mike Colter, Finn Jones, Rosario Dawson, Deborah Ann Woll, Elden Henson, Elodie Yung, Simone Missick, Sigourney Weaver…
Étiquette : rythme
[CRITIQUE] Office, de Johnnie To
Hong-Kong, 2008. Le jeune idéaliste Lee Xiang et la surdouée Kat Ho font leurs débuts chez Jones & Sunn, une multinationale sur le point d’entrer en bourse. Alors que la banque Lehman Brothers fait faillite aux États-Unis, la tension commence à se faire sentir au sein de l’entreprise. Lee Xiang et Kat Ho vont petit à petit découvrir le monde extravagant et outrancier de la finance…
[CRITIQUE] Transformers – The Last Knight, de Michael Bay
Les robots sont de retour et prêts à en découdre dans un cinquième opus. Plus posé mais toujours déterminé à divertir à l'échelle XXL, Michael Bay livre un film bien plus digeste que le précédent et tente d’égrainer une histoire originale entrecoupée d'actions explosives. Le show est au rendez-vous, toujours aussi ahurissant et porté par un ton à la fois assumé et excessif, cependant Transformers - The Last Knight ne parvient pas toujours à trouver le bon équilibre entre le divertissement un minimum crédible et le spectacle à tendance bordélique qui traverse un ensemble encore bancal. Recette éventée ou besoin de renouveau coté réalisation ? La question se pose, malgré des efforts tout de même notables.
[CRITIQUE] It Comes At Night, de Trey Edward Shults
Prenant et mystérieux, Trey Edward Shults signe un film noir et étouffant, hanté par un monde désolé et des personnages livrés à eux-même, qui parvient à créer une atmosphère suffisamment insidieuse et inquiétante pour intéresser. Pourtant, It Comes At Night méritait mieux que le traitement horrifique qui lui est réservé, car en voulant jouer la carte du mystère et épicer la trame avec des tentatives de frissons transparents et inutiles, le résultat botte en touche et passe à coté d'une histoire au potentiel inexploité. Dommage, car le casting est très bon et la mise en scène est judicieuse et bien fichue.
[CRITIQUE] Life : Origine Inconnue, de Daniel Espinosa
Objet curieux de science-fiction mêlé aux codes horrifiques, Life : Origine Inconnue a de quoi étonner. À travers une trame classique, le film de Daniel Espinosa tisse une intrigue saisissante, oscillant entre frissons et détours attendus, joliment portée par une ambiance stylisée et souvent étouffante. Globalement sympathique, Life : Origine Inconnue aurait pu être une belle découverte... si seulement il n'y avait pas eu un certain film réalisé par Ridley Scott il y a 38 ans !
[CRITIQUE] Going To Brazil, de Patrick Mille
La folle aventure de trois copines invitées au mariage de leur meilleure amie au Brésil. À peine arrivées à Rio, elles tuent accidentellement un jeune homme trop insistant. Dès lors, tout s'emballe...
[CRITIQUE] Fast and Furious 8, de F. Gary Gray
Toujours plus fort, toujours plus haut et toujours plus dingue, la saga Fast and Furious en est déjà à son huitième opus ! Réalisé F. Gary Gray, ce nouveau film marque un changement plus orienté film d'action que divertissement pur, en proposant une intrigue plutôt sombre autour de la supposée trahison du héros. Grâce à des… Lire la suite [CRITIQUE] Fast and Furious 8, de F. Gary Gray
[CRITIQUE] Power Rangers, de Dean Israelite
Autre adaptation aussi attendue que crainte de ce début d'année, Power Rangers débarque sur la pointe des pieds et parvient à tirer son épingle du jeu de façon très inattendue, en proposant un cocktail effervescent d'action et de comédie fun, moderne aux accents kitschs assumés. Certes, le film de Dean Israelite n'hésite pas à "emprunter" toutes ses bonnes… Lire la suite [CRITIQUE] Power Rangers, de Dean Israelite
[CRITIQUE] Fences, de Denzel Washington
Entre désillusions et révolution, Fences observe les répercussions et les actes d'un père de famille sur son entourage. Denzel Washington érafle l'image patriarcale à travers un personnage complexe, reflétant une Amérique en plein changement mais ancrée dans ses convictions, mais si l'histoire est globalement intéressante... le rythme frôle l'indigestion. En adaptant la pièce de théâtre au cinéma, Denzel Washington conserve les mêmes codes, ce qui crée un film un poil désarticulé et difficile à cerner, malgré les performances impeccables de l'ensemble du casting, dont une Viola Davis grandiose.
[CRITIQUE] A Cure For Life, de Gore Verbinski
Tourmenté et envoûtant, A Cure For Life tisse un thriller captivant, à mi-chemin entre la réalité et le cauchemar. Malgré pas mal de faiblesses de rythme, Gore Verbinski tisse une intrigue troublante, portée par une photographie spectrale qui vient asseoir une ambiance à la fois nerveuse, curieuse et étrangement repoussante. Voulez-vous vraiment connaître la vérité derrière la cure ?
[CRITIQUE] American Honey, d’Andrea Arnold
Solaire, insolent et marginal, Andrea Arnold transforme un road-trip improvisé en une observation à cœur ouvert d'une jeunesse insouciante et parfois indécente, entre amours perturbées et absences de repères. Habité par des personnages à vif, American Honey livre une histoire sans fioriture et porté par une sincérité criarde, parfois dérangeante mais profondément marquée par la férocité de ses émotions, entre envie de liberté et fuite en avant. Un peu long, certes, mais étonnamment lumineux, abouti et captivant.
[CRITIQUE] xXx: Reactivated, de D.J. Caruso
Xander Cage est de retour avec le troisième volet d'une saga aux allures de blockuster qui ressuscite difficilement. xXx: Reactivated a des faux airs de Fast and Furious et pour cause : Vin Diesel joue les action-heroes des temps modernes dans une explosion d'action survoltée et over-the-top où second degré rime avec exagération assumée. Seulement voilà, à la barre, D.J. Caruso a bien du mal à suivre et livre un gloubiboulga illisible qui, surtout en 3D, devient rapidement instable et brouillon. Impossible de profiter de ce xXx: Reactivated plein de frime, car même en appréciant ce genre de film, toutes les scènes d'action sont un ensemble bordélique de plans entremêlés et montés à la hache. Retour mitigé pour Xander Cage : si Vin Diesel est relativement bon dans ce registre, ce n'est pas le cas coté réalisateur.
