Épouvante-horreur

[COUP DE CŒUR] Le Dernier Voyage du Demeter, de André Øvredal

Le navire de commerce Demeter quitte la Transylvanie pour un long voyage vers Londres, avec à son bord une mystérieuse cargaison. D'étranges événements vont alors survenir et décimer peu à peu les membres d'équipage. Les survivants vont tenter de survivre à une présence qui sévit chaque nuit sur le Demeter.

Épouvante-horreur

[CRITIQUE] Smile, de Parker Finn

Le pitch : Après avoir été témoin d'un incident traumatisant impliquant l’une de ses patientes, la vie de la psychiatre Rose Cotter tourne au cauchemar. Terrassée par une force mystérieuse, Rose va devoir se confronter à son passé pour tenter de survivre…

Épouvante-horreur

[CRITIQUE] Malignant, de James Wan

La vie de Madison Mitchell est perturbée lorsque de terribles visions viennent la hanter. Quelle est cette créature malveillante qui la poursuit et commet ces meurtres atroces ? Une nouvelle histoire originale par James Wan, le maitre de l’horreur.

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[VIDÉO] Malignant : Découvrez la bande-annonce

La vie de Madison Mitchell est perturbée lorsque de terribles visions viennent la hanter. Quelle est cette créature malveillante qui la poursuit et commet ces meurtres atroces ? Une nouvelle histoire originale par James Wan, le maitre de l’horreur. En salles le 1er septembre 2021 Réalisé par James Wan Avec Annabelle Wallis, Maddie Hasson, George Young...

Épouvante-horreur, Sci-fi

[CRITIQUE] Invisible Man, de Leigh Whannell

Glaçant et intelligent, Invisible Man flirte avec les codes de l'épouvante pour proposer un thriller haletant. Leigh Whannell signe une réalisation impeccable entre jeu de POV et plans larges angoissants, le film est porté par un scénario très bien ficelé. Même s'il s'agit d'une énième revisite du mythe de l'homme invisible, avec Invisible Man, le frisson et les suspens sont (enfin) au rendez-vous !

Tops & Flops

Interdit de spoiler : Les films à twist(s) à voir absolument

À l'occasion de la sortie du film À Couteaux Tirés de Rian Johnson qui offre un thriller palpitant, intelligent et noueux jusqu'à la dernière minute, je me suis dit qu'il était temps que je fasse un petit point sur les films à twist qui m'ont marquée. Mais pas n'importe lesquels : ceux dont le spoil devrait être passible de la peine de mort (ou autre conséquence un peu moins fatale, maybe). Soyons clairs : raconter la fin de Avengers Endgame ou de La Reine des Neiges 2 est énervant, bien sûr, mais si l'effet de surprise est ruiné, cela n'empêche pas vraiment de prendre du plaisir devant le film. Alors que pour les films que je vais évoquer ici, spoiler la fin ou le twist clé revient à ruiner toute l'expérience autour du film, gâchant ainsi tout son intérêt. Et ça, messieurs et dames, ce devrait être criminel.

Épouvante-horreur

[CRITIQUE] The Jane Doe Identity, de André Øvredal

Quand la police leur amène le corps immaculé d’une Jane Doe (expression désignant une femme dont on ignore l’identité), Tommy Tilden et son fils, médecins-légistes, pensent que l’autopsie ne sera qu’une simple formalité. Au fur et à mesure de la nuit, ils ne cessent de découvrir des choses étranges et inquiétantes à l’intérieur du corps de la défunte. Alors qu’ils commencent à assembler les pièces d’un mystérieux puzzle, une force surnaturelle fait son apparition dans le crématorium...

News

[VIDÉO] Rings : Découvrez la première bande-annonce

Une jeune femme s’inquiète pour son petit ami lorsqu’ il commence à s’intéresser aux mystères entourant une vidéo censée tuer celui qui la regarde 7 jours après l’avoir visionnée. Elle se sacrifie pour sauver son petit ami et fait alors une terrifiante découverte : il y a « un film dans le film » que personne n’avait encore vu… En salles le 30 novembre 2016
 Réalisé par F. Javier Gutiérrez
 Avec Matilda Lutz, Alex Roe, Vincent D'Onofrio…

Épouvante-horreur

[CRITIQUE] The Door, de Johannes Roberts

Très prévisible mais relevé par par une ambiance soignée et accrocheuse, The Door parvient à installer une atmosphère stressante, traversée par des jumpscares souvent efficaces. Cependant, le film de Johannes Roberts tombe dans les nombreux pièges qui lui ouvraient les bras, entre une intrigue déjà vue et une fin totalement ratée, qui détonne avec un ensemble certes peu novateur mais volontaire, comme le réalisateur avait soudainement baissé les bras. Preuve, s'il en fallait une, qu'on peut être une production estampillée Alexandre Aja et ne pas être à la hauteur du nom apposé sur l'affiche !

Épouvante-horreur

[CRITIQUE] The Boy, de William Brent Bell

Annoncé comme le successeur du film Annabelle de John R. Leonetti, The Boy sait créer la surprise. Grâce à une ambiance angoissante au mystère entretenu, le film de William Brent Bell nous enferme dans une intrigue où les apparences sont trompeuses. Entre paranormal et suspens, The Boy est plutôt soigné et convaincant, jouant avec les codes classiques des films d'épouvante récents pour mieux nous prendre au piège. Même si l'ensemble est loin d'être flippant, on se laisse facilement duper par ce tête-à-tête oppressant avec cette étrange poupée. Et si la vérité était ailleurs ?

Épouvante-horreur

[CRITIQUE] Gallows, de Travis Cluff et Chris Lofing

Inutile de tourner autour du pot, Gallows est très mauvais. Pâle excuse pour film d'épouvante, le film de Travis Cluff et Chris Lofing compile tous les défauts des soi-disants films d'horreur de ces dernières années pour nous les jeter à la tronche avec une désinvolture irritante, à travers un found-footage flemmard. Si vous aimez sursauter, Gallows vend du jumpscare au rabais, accompagné par un mixage sonore des plus hasardeux, au lieu d'essayer d'installer un soupçon d'intrigue. Pour couronner le tout et festoyer allègrement dans la médiocrité, il faut aussi supporter des gamins à claquer qui bavassent non stop et une caméra visiblement tenue par un amateur. Et dire qu'ils s'y sont mis à deux pour réaliser un truc pareil...

Épouvante-horreur

[CRITIQUE] Pyramide, de Grégory Levasseur

Alors qu'à première vue le film ne paie pas de mine, Pyramide parvient à étonner, voire même à coller les jetons. Ne vous laissez pas avoir par son apparence clichée, car à travers une intrigue simplette et des personnages attendus, le premier film de Grégory Levasseur est ambitieux et truffé de bonnes idées, alliant les phénomènes paranormaux à la tension nerveuse d'un huis-clos étouffant. Croisement improbable entre The Descent et La Momie, le protégé d'Alexandre Aja prouve qu'avec un peu d'imagination et d'application, il est possible de transformer un pitch usé en un film horrifique efficace aux allures de séries B assumées.