M3GAN est un miracle technologique, une cyber poupée dont l’intelligence artificielle est programmée pour être la compagne idéale des enfants et la plus sûre alliée des parents. Conçue par Gemma, la brillante roboticienne d’une entreprise de jouets, M3GAN peut écouter, observer et apprendre tout en étant à la fois l’amie et le professeur, la camarade de jeu et la protectrice de l’enfant à qui elle est liée. Quand Gemma devient tout à coup responsable de sa nièce de 8 ans, Cady, dont les parents sont soudainement décédés, elle n’est absolument pas prête à assumer son rôle. Débordée et sous pression au travail, elle décide de lier le prototype M3GAN encore en développement à la petite fille, dans une tentative désespérée de résoudre ses problèmes sur ces deux fronts. Une décision qui va entraîner d’épouvantables conséquences.
Étiquette : nocturne
[CRITIQUE] Smile, de Parker Finn
Le pitch : Après avoir été témoin d'un incident traumatisant impliquant l’une de ses patientes, la vie de la psychiatre Rose Cotter tourne au cauchemar. Terrassée par une force mystérieuse, Rose va devoir se confronter à son passé pour tenter de survivre…
[CRITIQUE] Ogre, de Arnaud Malherbe
Fuyant un passé douloureux, Chloé démarre une nouvelle vie d'institutrice dans le Morvan avec son fils Jules, 8 ans. Accueillie chaleureusement par les habitants du village, elle tombe sous le charme de Mathieu, un médecin charismatique et mystérieux. Mais de terribles événements perturbent la tranquillité des villageois : un enfant a disparu et une bête sauvage s’attaque au bétail. Jules est en alerte, il le sent, quelque chose rôde la nuit autour de la maison...
[CRITIQUE] Morbius, de Daniel Espinosa
Gravement atteint d’une rare maladie sanguine, et déterminé à sauver toutes les victimes de cette pathologie, le Dr Morbius tente un pari désespéré. Alors que son expérience semble être un succès, le remède déclenche un effet sinistre. Le bien vaincra-t-il le mal – ou Morbius succombera-t-il à ses nouvelles pulsions ?
[CRITIQUE] Welcome To The Blumhouse : 4 films, 3 avis et 1 abandon
Il y a quelques jours, Amazon Prime Video a lancé son mini-partenariat avec la maison de production Blumhouse avec 4 films de genre disponibles sur la plateforme pour les abonnés : Black Box, The Lie, Evil Eye et Nocturne. Frissons garantis ou bâillements avertis ?
[CRITIQUE] Les Nouveaux Mutants, de Josh Boone (podcast)
Les Mutants deviennent dangereux – pour eux-mêmes comme pour les autres – lorsqu’ils découvrent leurs pouvoirs. Détenus contre leur volonté dans une division secrète d’un mystérieux hôpital psychiatrique, cinq jeunes mutants doivent apprivoiser leurs dons et assumer les graves erreurs de leur passé. Traqués par une puissance surnaturelle, leurs peurs les plus terrifiantes vont devenir réalité. Réalisé par Josh Boone En salles le 26 août 2020 Avec Maisie Williams, Anya Taylor-Joy, Charlie Heaton, Blu Hunt, Alice Braga, Henry Zaga…
[CRITIQUE] Brightburn : L’Enfant du Mal, de David Yarovesky
Tori Breyer a perdu tout espoir de devenir mère un jour, quand arrive dans sa vie un mystérieux bébé. Le petit Brandon est tout ce dont elle et son mari, Kyle, ont toujours rêvé : c’est un petit garçon éveillé, doué et curieux de tout. Mais à l’approche de la puberté, quelque chose d’aussi puissant que sinistre se manifeste chez lui. Tori nourrit bientôt d’atroces doutes sur son fils. Désormais, Brandon n’agit plus que pour satisfaire ses terribles besoins, et même ses proches sont en grave danger alors que l’enfant miraculeux se transforme en un redoutable prédateur qui se déchaîne sur leur petite ville sans histoire...
[CRITIQUE] La Malédiction de la Dame Blanche, de Michael Chaves
Loin de la légende de l'auto-stoppeuse fantomatique qui arpente les routes la nuit, La Malédiction de la Dame Blanche s'inspire d'une légende mexicaine pour produire un film à la facture classique mais qui réserve toutefois de sympathiques moments de frissons. Michael Chaves s'appuie sur les codes classiques de l'épouvante maléfique pour construire des rebondissements prévisibles puis efficaces, avant d'opter pour un dénouement trop démonstratif. En cherchant le réalisme, La Malédiction de la Dame Blanche perd en crédibilité même si l'ensemble reste tout à fait correct.
[CRITIQUE] Annabelle 2 : La Création du Mal, de David F. Sandberg
Moins précipité que le premier opus, Annabelle 2 : La Création du Mal vient relever le niveau avec une intrigue construite et de bonnes surprises au compteur. Un peu (souvent) maladroit au début, mais dopé par quelques scènes de flippe bien fichues, Si David F. Sandberg exploite une recette plutôt classique entre jumpscare et terreurs enfantines, l'ensemble s'avère plutôt efficace.
[CRITIQUE] Belgica, de Felix Van Groeningen
À mi-chemin entre une descente aux enfers viscérale et un rêve américain à la sauce belge, le nouveau film de Felix Van Groeningen est d'une densité hypnotique et animée par une énergie contagieuse qui scotche nos yeux sur un écran quasi-psychédélique. Belgica raconte l'amour fraternel, pour le meilleur et pour le pire dans un film à la fois lumineux et très sombre, porté par une mise en scène vertigineuse et une bande-originale absolument géniale qui cristallise des scènes purement orgasmiques. On frôle le coup de coeur de très peu, si seulement Belgica n'éternisait pas une chute qui finit par faire traîner le film en longueur.
Night Call : Malsain, dérangeant et terriblement fascinant
Alors qu'il n'était même pas encore sorti en salles, certains prédisaient déjà une nomination aux Oscars 2015 pour Night Call. Certes, il est encore trop tôt pour se prononcer, mais ce ne serait pas volé. Fascinant, le nouveau film de Dan Gilroy propose une virée nocturne vertigineuse à travers un thriller affûté et habité par un Jake Gyllenhall méconnaissable et excellent. Entre voyeurisme morbide et critique à vif des médias américains, Night Call maintient un suspens anxiogène rythmé par l'ascension affolante d'un homme prêt à tout pour atteindre son but. Frissons garantis.