La Fête Est Finie, c’est l’histoire d’une renaissance, celle de Céleste et Sihem. Arrivées le même jour dans un centre de désintoxication, elles vont sceller une amitié indestructible. Celle-ci sera autant une force qu’un obstacle lorsque, virées du centre, elles se retrouvent livrées à elles-mêmes, à l’épreuve du monde réel et de ses tentations. Le vrai combat commence alors, celui de l’abstinence et de la liberté, celui vers la vie. Réalisé par Marie Garel-Weiss Avec Zita Hanrot, Clémence Boisnard, Michel Muller... Sortie en DVD : le 21 août Bonus DVD : Entretien avec Marie Garel-Weiss, scènes coupées
Étiquette : touchant
[CRITIQUE] My Lady, de Richard Eyre
Faut-il obliger un adolescent à recevoir la transfusion qui pourrait le sauver ? Fiona Maye, Juge de la Haute Cour, décide de lui rendre visite, avant de trancher. Leur rencontre bouleversera le cours des choses.
[CRITIQUE] Désobéissance, de Sebastián Lelio
Une jeune femme juive-orthodoxe, retourne chez elle après la mort de son père. Mais sa réapparition provoque quelques tensions au sein de la communauté lorsqu'elle avoue à sa meilleure amie les sentiments qu'elle éprouve à son égard...
[CRITIQUE] Tully, de Jason Reitman
Marlo, la petite quarantaine, vient d'avoir son troisième enfant. Entre son corps malmené par les grossesses qu'elle ne reconnaît plus, les nuits sans sommeil, les repas à préparer, les lessives incessantes et ses deux aînés qui ne lui laissent aucun répit, elle est au bout du rouleau. Un soir, son frère lui propose de lui offrir, comme cadeau de naissance, une nounou de nuit. D'abord réticente, elle finit par accepter. Du jour au lendemain, sa vie va changer avec l’arrivée de Tully…
[COUP DE CŒUR] Love, Simon de Greg Berlanti
Chaleureux et attendrissant, Love, Simon prône la tolérance et l'acceptation dans une comédie romantique à la facture hyper classique et sucrée, mais qui touche en plein cœur grâce à sa bienveillance et ses personnages attachants. Usant à bon escient des clichés romcoms, Love, Simon offre un accès "mainstream" et grand public aux histoires d'amour homosexuelles, sans verser dans la revendication ni le drame pesant...
[CRITIQUE] Gueule d’Ange, de Vanessa Filho
Une jeune femme vit seule avec sa fille de huit ans. Une nuit, après une rencontre en boîte de nuit, la mère décide de partir, laissant son enfant livrée à elle-même.
[CRITIQUE] La Fête des Mères, de Marie-Castille Mention-Schaar
Elles sont Présidente de la République, nounou, boulangère, comédienne, prof, fleuriste, journaliste, sans emploi, pédiatre. Elles sont possessives, bienveillantes, maladroites, absentes, omniprésentes, débordées, culpabilisantes, indulgentes, aimantes, fragiles, en pleine possession de leurs moyens ou perdant la tête. Bien vivantes ou déjà un souvenir ... Fils ou fille, nous restons quoiqu'il arrive leur enfant avec l'envie qu'elles nous lâchent et la peur qu'elles nous quittent. Et puis nous devenons maman ... et ça va être notre fête !
[COUP DE CŒUR] Katie Says Goodbye, de Wayne Roberts
Tranche de vie solaire et poignante, Katie Says Goodbye est d'une beauté bouleversante, entre naïveté et espoirs mis à mal, à travers le parcours d'une jeune femme à l'optimisme aveugle qui se confronte brutalement à une réalité brutale et injuste. Le film de Wayne Roberts touche en plein cœur, par sa sincérité qui évite brillamment le pathos pour offrir de belles émotions, et par son ambiance ensoleillée qui dessine une Amérique loin des cartes postales et douloureusement humaine. La révélation du film c'est surtout Olivia Cooke, qui livre une performance superbe, donnant à son personnage une douceur inattendue et incroyablement attachante.
[CRITIQUE] M, de Sara Forestier (Sortie DVD)
Mo est beau, charismatique, et a le goût de l'adrénaline. Il fait des courses clandestines. Lorsqu'il rencontre Lila, jeune fille bègue et timide, c'est le coup de foudre. Il va immédiatement la prendre sous son aile. Mais Lila est loin d'imaginer que Mo porte un secret : il ne sait pas lire. Réalisé par Sara Forestier Avec Sara Forestier, Redouanne Harjane, Jean-Pierre Léaud, Liv Andren... Sortie en DVD le 10 avril - Bonus DVD : Un entretien avec Sara Forestier
[CRITIQUE] Sparring, de Samuel Jouy
À plus de 40 ans, Steve Landry est un boxeur qui a perdu plus de combats qu’il n’en a gagnés. Avant de raccrocher les gants, il accepte une offre que beaucoup de boxeurs préfèrent refuser : devenir sparring partner d’un grand champion.
[CRITIQUE] The Disaster Artist, de James Franco
James Franco se penche sur l'histoire de Tommy Wiseau, l'homme derrière le film culte The Room (2003). Aussi curieux que le film d'origine, The Disaster Artist propose une approche à la fois respectueuse et tendre, tandis qu'il nous embarque dans l'univers lunaire d'un personnage insaisissable, incompris et imprévisible. Entre humour, mélancolie et folie douce, le film de James Franco trouve la juste dose entre le divertissement léger et le biopic juste, tout en gardant un esprit fidèle aussi bien envers l'œuvre que l'homme.
[CRITIQUE] Le Jour De Mon Retour, de James Marsh
J'ai découvert ce film sans même savoir qu'il s'agissait d'une histoire vraie ni connaître le nom de Donald Crowhurst, et ce que je pensais être un simple drame autour d'un marin novice qui s'embarque dans un pari inouï, s'est révélé être un véritable drame tragique et déchirant. Le Jour de Mon Retour met en scène la lente décomposition des rêves et des espoirs de son personnage, sous la houlette d'un James Marsh qui parvient aussi bien à illustrer le conflit intérieur de son héros et la pression de son entourage. Simple...
