30 000 spectateurs. 300 policiers. Un tueur. Cooper, père de famille et tueur en série, se retrouve pris au piège par la police en plein cœur d’un concert. S’échappera-t-il ?
Étiquette : vain
[CRITIQUE] Aquaman et le Royaume Perdu, de James Wan
Black Manta, toujours hanté par le désir de venger son père, est maintenant plus puissant que jamais avec le légendaire Trident Noir entre ses mains. Pour l’anéantir, Aquaman doit s’associer à son frère Orm ancien roi d’Atlantide et actuellement emprisonné. Ensemble, ils devront surmonter leurs différences pour protéger leur royaume et sauver le monde d’une destruction irréversible.
[SPOILERS] Venom – Let There Be Carnage : Retour sur le film
ATTENTION, CE QUI VA SUIVRE N’EST RÉSERVÉ QU’À CEUX QUI ONT VU LE FILM. Abandonnez la lecture de cet article tant qu’il en est encore temps. Surtout si vous êtes fan de… Non ! Vous en avez trop lu, partez.. Pour ceux qui ont déjà vu le film… on est bien, là non ?
[CRITIQUE] Venom – Let There be Carnage, d’Andy Serkis
Environ un an après avoir affronté Riot, Eddie Brock « cohabite » toujours avec le symbiote Venom. Eddie tente de relancer sa carrière de journaliste d'investigation. Il se rend alors en prison pour interviewer le tueur en série Cletus Kasady. Il ignore que ce dernier est lui aussi l'hôte d'un symbiote, Carnage.
[CRITIQUE] Brightburn : L’Enfant du Mal, de David Yarovesky
Tori Breyer a perdu tout espoir de devenir mère un jour, quand arrive dans sa vie un mystérieux bébé. Le petit Brandon est tout ce dont elle et son mari, Kyle, ont toujours rêvé : c’est un petit garçon éveillé, doué et curieux de tout. Mais à l’approche de la puberté, quelque chose d’aussi puissant que sinistre se manifeste chez lui. Tori nourrit bientôt d’atroces doutes sur son fils. Désormais, Brandon n’agit plus que pour satisfaire ses terribles besoins, et même ses proches sont en grave danger alors que l’enfant miraculeux se transforme en un redoutable prédateur qui se déchaîne sur leur petite ville sans histoire...
[CRITIQUE] Doubles Vies, d’Olivier Assayas
Alain, la quarantaine, dirige une célèbre maison d’édition, où son ami Léonard, écrivain bohème publie ses romans. La femme d’Alain, Séléna, est la star d’une série télé populaire et Valérie, compagne de Leonard, assiste vaillamment un homme politique. Bien qu’ils soient amis de longue date, Alain s’apprête à refuser le nouveau manuscrit de Léonard… Les relations entre les deux couples, plus entrelacées qu’il n’y paraît, vont se compliquer.
[CRITIQUE] Glass, de M. Night Shyamalan
Dès Split, M. Night Shyamalan avait initié un lien vers Incassable, un de ses premiers succès en 2000. Si la surprise avait ravi les fans du premier film, Glass restait assez flou quant à la tournure qu’allait prendre les événements. À l’arrivée, M. Night Shyamalan déçoit en renouant avec ses vieux travers : installations laborieuses, trame nébuleuse et mystification inutile, Glass passe non seulement à côté du potentiel de ses trois personnages phares mais également à côté d'un point de vue original en prenant la mode super-héroïque à contre-sens. L'ensemble vire rapidement au sens intérêt et le fait de teaser un opération plus vaste pour appâter le chaland et vendre un prochain film rend Glass encore plus vain. Dommage.
[CRITIQUE] Geostorm, de Dean Devlin
Grâce à une coopération sans précédent entre États, un réseau de satellites contrôle désormais le climat et protège les populations. Jusqu'à ce que le dispositif se dérègle… S'agit-il d'un complot ou d'une faille dans le système ? S'engage alors une véritable course contre la montre…
[CRITIQUE] It Comes At Night, de Trey Edward Shults
Prenant et mystérieux, Trey Edward Shults signe un film noir et étouffant, hanté par un monde désolé et des personnages livrés à eux-même, qui parvient à créer une atmosphère suffisamment insidieuse et inquiétante pour intéresser. Pourtant, It Comes At Night méritait mieux que le traitement horrifique qui lui est réservé, car en voulant jouer la carte du mystère et épicer la trame avec des tentatives de frissons transparents et inutiles, le résultat botte en touche et passe à coté d'une histoire au potentiel inexploité. Dommage, car le casting est très bon et la mise en scène est judicieuse et bien fichue.
[CRITIQUE] Un Traître Idéal, de Susanna White
En vacances à Marrakech, un couple d’Anglais, Perry et Gail, se lie d’amitié avec un millionnaire russe nommé Dima. Ils ignorent que cet homme charismatique et extravagant blanchit l’argent de la mafia russe… Lorsque Dima demande leur aide pour livrer des informations explosives aux services secrets britanniques, la vie de Perry et Gail bascule. À travers toute l’Europe, ils se retrouvent plongés dans un monde de manipulation et de danger où chaque faux pas peut leur coûter la vie. Pour avoir une chance de s’en sortir, ils vont devoir faire équipe avec un agent anglais aux méthodes vraiment particulières…
