Elly Conway est l'auteure solitaire d’une série de romans d’espionnage à succès, dont l’idée du bonheur se résume à une soirée tranquille à la maison avec son ordinateur et son chat, Alfie. Mais lorsque les intrigues de ses livres, centrés sur l'agent secret Argylle et son combat pour démanteler un réseau d'espions mondial, commencent à ressembler étrangement aux opérations secrètes d'une véritable organisation d'espions, sa tranquillité ne devient plus qu’un souvenir. Aux côtés d’Aidan, un espion pourtant allergique aux chats, Elly n’hésite pas à embarquer Alfie dans son sac à dos pour mieux se lancer dans une course contre la montre aux quatre coins de la planète afin de distancer de dangereux tueurs et empêcher ses fictions de dépasser la réalité.
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[SPOILERS] The Marvels : Retour sur le film
ATTENTION, CE QUI VA SUIVRE N’EST RÉSERVÉ QU’À CEUX QUI ONT VU LE FILM. Abandonnez la lecture de cet article tant qu’il en est encore temps. Surtout si vous êtes fan de… Non ! Vous en avez trop lu, partez. Pour ma critique sans spoiler du film, c’est par ici. Pour ceux qui ont déjà vu le film… on est bien, là non ?
[CRITIQUE] The Marvels, de Nia DaCosta (sans spoilers)
En pleine « super-héros fatigue », les studios Marvel continue de dérouler leur Phase 5, certes avec un poil moins de panache qu’auparavant. Réalisé par Nia DaCosta, The Marvels propose une aventure sympathique et parvient à trouver un équilibre palpitant entre l'humour, la dynamique familiale et des scènes d'action spectaculaires, ravivant les éléments essentiels du MCU. Bien qu’un brin hâtif et toujours prompt à survoler ses quelques ressorts dramatiques, le film se révèle plutôt efficace, même si on est loin de retrouver l’excitation de l’Infinity saga.
[CRITIQUE] Buzz l’Éclair, d’Angus MacLane
La véritable histoire du légendaire Ranger de l’espace qui, depuis, a inspiré le jouet que nous connaissons tous. Après s’être échoué avec sa commandante et son équipage sur une planète hostile située à 4,2 millions d’années-lumière de la Terre, Buzz l’Eclair tente de ramener tout ce petit monde sain et sauf à la maison. Pour cela, il peut compter sur le soutien d’un groupe de jeunes recrues ambitieuses et sur son adorable chat robot, Sox. Mais l’arrivée du terrible Zurg et de son armée de robots impitoyables ne va pas leur faciliter la tâche, d’autant que ce dernier a un plan bien précis en tête…
[CRITIQUE] Cats, de Tom Hooper
L'adaptation de la comédie musicale Cats. Une fois par an au cours d’une nuit extraordinaire, les Jellicle Cats se réunissent pour leur grand bal. Leur chef, Deuteronome, choisit celui qui pourra entrer au paradis de la Jellicosphère pour renaître dans une toute nouvelle vie.
[CRITIQUE] Simetierre, de Kevin Kölsch et Dennis Widmyer
Moderne sur la forme, plutôt datée sur le fond : cette nouvelle adaptation du roman de Stephen King tente de moderniser un film old school en proposant des personnages qui tiennent la route malgré un tableau très formaté. Le film de Kevin Kölsch et Dennis Widmyer s'avère bien trop sage et codifié pour tenir ses promesses. Parfait pour une soirée Halloween pour les plus sensibles, Simetierre choisit la facilité contemplatrice ponctuée par des jumpscares et autres artifices nocturnes pour fonctionner, ce qui plombe un film qui aurait pu faire des étincelles s'il avait osé sortir de la zone de confort des films de genre actuels qui préfèrent assurer les entrées en salles, plutôt que de satisfaire les amateurs de sueurs froides.
[SPOILERS] Captain Marvel : Retour sur le film
ATTENTION, CE QUI VA SUIVRE N’EST RÉSERVÉ QU’À CEUX QUI ONT VU LE FILM. Abandonnez la lecture de cet article tant qu’il en est encore temps. Surtout si vous êtes fan de… Non ! Vous en avez trop lu, partez. Pour ceux qui ont déjà vu le film… Cliquez !
[CRITIQUE] Captain Marvel, d’Anna Boden et Ryan Fleck
Le premier super-héros féminin adapté par Marvel Studios débarque au cinéma quelques semaines seulement avant Avengers: Endgame, ce qui est un sacré défi en soit. Sans véritable prise de risque, Captain Marvel s'inscrit comme une origin story séduisante en introduisant un personnage en pleine quête existentielle alors qu'elle possède des pouvoirs extraordinaires et une mémoire… Lire la suite [CRITIQUE] Captain Marvel, d’Anna Boden et Ryan Fleck
[CRITIQUE] Mary, de Marc Webb
Attendu mais joliment interprété, Mary fait partie de ces films solaires et attendrissants qui savent s'approprier des sentiers, certes, déjà battus maintes fois, mais avec une fraîcheur et un point de vue intéressants, neufs et efficaces. Marc Webb signe une dramédie familiale, entre éducation et ruptures, dans une histoire accessible, mignonne et teintée d'espièglerie mais surtout portée par un sous-texte douloureux qui renforce la sincérité touchante et conquérante du film. Simple mais charmant, Mary réchauffe les cœurs, surtout grâce à la jeune McKenna Grace, une belle découverte.
[COUP DE CŒUR] Nous Trois ou Rien, de Kheiron
À la sortie du film (et après une belle standing ovation pour Kheiron et Leila Bekhti), on m'a demandé de décrire ce film en trois adjectifs. Encore à chaud et sous l'émotion, j'en ai donné plein. Aujourd'hui, pour décrire le film Nous Trois ou Rien de Kheiron, je dirais juste un mot : formidable. Ce film est formidable et les raisons sont multiples. Drôle, touchant et vrai, Nous Trois Ou Rien est un bel hommage qu'offre Kheiron à ses parents et un véritable cadeau pour son public et le cinéma français. Pour un premier film, c'est tout simplement formidable. Oui, comme la chanson de Stromae, et vous l'avez dans la tête maintenant.
[CRITIQUE] The Voices, de Marjane Satrapi
Pop, coloré et sanglant, The Voices réunit plusieurs ingrédients qui d'ordinaire parviennent à me séduire. Cette fois, le dernier film de Marjane Satrapi, son second degré cynique et sa seconde lecture dramatique m'ont laissé... de marbre. Alors que l'ensemble est prometteur, tous les efforts sont anéantis par des personnages trop poussifs et un chat qui parle un tantinet lourdingue, tandis que les traits d'humour tombe à plat à cause d'une ambiance légèrement anxiogène mais savamment entretenue. Marjane Satrapi a bien du mal à faire cohabiter les deux visages de son film, du coup The Voices fait l'effet d'une overdose crispante de sourires plâtrés et de bonne humeur forcée, hanté par des personnages bien difficiles à apprécier. Malgré de bonnes attentions visibles et un sujet intriguant, The Voices se révèle finalement un peu (trop) éteint et souvent redondant. Vraiment dommage, pour une fois que Ryan Reynolds s'en sort bien !
