Deux jeunes hommes obsédés par les théories du complot kidnappent la PDG d’une grande entreprise, convaincus qu’elle est une extraterrestre déterminée à détruire la planète Terre.
Étiquette : kidnapping
[CRITIQUE] Abigail, de Matt Bettinelli-Olpin et Tyler Gillett
Suite au kidnapping de la fille d’un puissant magnat de la pègre, un groupe de criminels amateurs pensaient simplement devoir enfermer et surveiller cette jeune ballerine afin de pouvoir réclamer une rançon de 50 millions de dollars. Retirés dans un manoir isolé, les ravisseurs commencent mystérieusement à disparaître, les uns après les autres, au fil de la nuit. C’est alors qu’ils découvrent avec horreur, que la fillette avec lesquels ils sont enfermés n’a rien d’ordinaire.
[VIDÉO] Abigail : Découvrez la bande-annonce
Suite au kidnapping de la fille d’un puissant magnat de la pègre, un groupe de criminels amateurs pensaient simplement devoir enfermer et surveiller cette jeune ballerine afin de pouvoir réclamer une rançon de 50 millions de dollars. Retirés dans un manoir isolé, les ravisseurs commencent mystérieusement à disparaître, les uns après les autres, au fil de la nuit. C’est alors qu’ils découvrent avec horreur, que la fillette avec lesquels ils sont enfermés n’a rien d’ordinaire. Réalisé par Matt Bettinelli-Olpin et Tyler Gillett En salles le 29 mai 2024 Avec Melissa Barrera, Dan Stevens, Alisha Weir…
[CRITIQUE] Black Phone, de Scott Derrickson
Finney Shaw, un adolescent de 13 ans, timide mais intelligent, est enlevé par un tueur sadique qui l’enferme dans un sous-sol insonorisé où s’époumoner n’est pas d’une grande utilité. Quand un téléphone accroché au mur, pourtant hors d’usage, se met à sonner, Finney va découvrir qu’il est en contact avec les voix des précédentes victimes de son ravisseur. Ils sont aussi morts que bien résolus à ce que leur triste sort ne devienne pas celui de Finney.
[CRITIQUE] Antebellum + I’m Thinking of Ending things avec #spoilers et explications (podcast)
Pour cet épisode, je reviens sur deux films : Antebellum, de Gerard Bush et Christopher Renz et le film Netflix Je Veux Juste En Finir (I'm Thinking of Ending Things), de Charlie Kaufman. Entre mystère et thriller, deux films qui jouent avec les apparences et avec les nerfs de son (télé)spectateur. Attention : ce podcast contient des spoilers.
[CRITIQUE] Sicario : La Guerre des Cartels, de Stefano Sollima
Toujours aussi étouffant et implacable, Sicario : La Guerre des Cartels propose une nouvelle plongée aux abords de la frontière américano-mexicaine, au détour d'une guerre des nerfs et d'un kidnapping qui tourne mal. Entre jeu de pouvoirs et terrains minés, le film de Stefano Sollima n'a peut-être plus l'effet de surprise mais renoue solidement avec l'univers terrassant de Sicario, malgré une ambiance assez uniforme qui manque parfois de pics. Un peu long sur les bords, Sicario : La Guerre des Cartels reste néanmoins d'une efficacité imparable.
[CRITIQUE] Game Night, de Jonathan Goldstein et John Francis Daley
Entre comédie et action, Game Night propose un divertissement sur les chapeaux de roue et plein de rebondissements. Les réalisateurs Jonathan Goldstein et John Francis Daley osent le mélange de genres déstabilisant et la mise en scène soignée pour se démarquer des comédies estivales. Le résultat reste globalement efficace, même si l'ensemble semble parfois gâcher son propre potentiel comique, au profit d'une émancipation certaine vers un film plus musclé et solide.
[COUP DE CŒUR] Love Hunters, de Ben Young
Australie, été 1987. Un soir, alors que la jeune Vicki Maloney se rend à une soirée, elle est abordée dans la rue par Evelyn et John White, deux trentenaires qui l’invitent chez eux. Sur place, elle comprend qu’elle est tombée dans un piège. Séquestrée, sa seule chance de survie sera d’exploiter les failles du couple…
[CRITIQUE] Split, de M. Night Shyamalan
Étonnant et original, Split est un thriller fascinant alliant les mystères d'un trouble mental encore méconnu et une tension angoissante. M. Night Shyamalan tient, une fois n'est pas coutume, ses promesses et livre une intrigue prenante et habile, promenant le spectateur dans les recoins flippants d'une personnalité multiple, grâce à un James McAvoy excellent. Très bonne surprise !
[CRITIQUE] Nocturnal Animals, de Tom Ford + explications
D'une élégance rare à la noirceur palpable, le nouveau film de Tom Ford nous entraîne dans un thriller dérangeant et maîtrisé, où les amours déchues s'entrechoquent dans une intrigue marquée par une violence bien plus implicite que graphique. Porté par un casting de choc, Nocturnal Animals déroute, pas uniquement par son traitement, mais surtout à cause de (ou grâce à) sa simplicité ingénieuse. Brillant, tordu et entêtant, Tom Ford se conforte peut-être dans une forme académique mais il livre toutefois un film surprenant et brutal.
[COUP DE CŒUR] Room, de Lenny Abrahamson
Bouleversant, brillant, lumineux, sensible, superbe... Le nouveau film de Lenny Abrahamson raconte, à travers le regard innocent d'un enfant, une histoire de courage et d'éveil marqué par un point de départ horrible. Entre l'amour d'une mère et la (re)construction d'une vie, Room est à la fois sublime et douloureux, surtout grâce à un duo d'acteurs extraordinaires : si Brie Larson est comme toujours géniale, c'est le jeune Jacob Tremblay qui est une véritable révélation tant sa performance est incroyable. À ne pas manquer.
[VIDÉO] La Isla Minima : Le True Detective espagnol !
Deux flics que tout oppose, dans l'Espagne post-franquiste des années 1980, sont envoyés dans une petite ville d'Andalousie pour enquêter sur l'assassinat sauvage de deux adolescentes pendant les fêtes locales.Au cœur des marécages de cette région encore ancrée dans le passé, parfois jusqu'à l'absurde et où règne la loi du silence, ils vont devoir surmonter leurs différences pour démasquer le tueur. En salles le 15 juillet 2015 Réalisé par Alberto Rodriguez Avec Raúl Arévalo, Javier Gutiérrez…
